Résumé
– Des scientifiques de renom alertent sur les dangers de tous les vaccins géniques 1 et demandent l’arrêt immédiat de cette vaccination.
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le 26 mai 2021, jour 71 de l’an de disgrâce 02
– Les effets avérés ou probables de la vaccination génique :
– L’atteinte à la fertilité et à la gestation (fausse couche).
– Les problèmes de coagulation du sang.
– L’aggravation de l’évasion immunitaire 2 et donc de la « pandémie ».
– L’augmentation des décès.
– L’apparition de maladies auto-immunes
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Dans un avis public adressé au CDC 3, le Dr Janci Chunn Lindsay**, biologiste moléculaire et toxicologue, a demandé l’arrêt immédiat de la production et de la distribution du vaccin covid. Citant l’atteinte à la fertilité, les problèmes de coagulation du sang (coagulopathie) et l’évasion immunitaire, le Dr Lindsay a expliqué au comité les preuves scientifiques montrant que les vaccins anti-coronavirus ne sont pas sûrs.
Le 23 avril 2021, le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination des CDC (ACIP) a tenu une réunion à Atlanta, en Géorgie. L’objet de cette réunion de l’ACIP était les troubles de la coagulation sanguine suite aux vaccins covid. Le Dr Janci Chunn Lindsay a pris la parole devant le CDC pendant la période réservée aux avis du public.
La censure sur les médias sociaux en particulier et sur Internet en général est implacable. Voici une transcription légèrement modifiée et annotée, à l’abri de la censure, de l’avis oral du Dr Janci Chunn Lindsay, qui n’a pu disposer que de 3 minutes pour ce faire.
Vous pouvez écouter son témoignage sur YouTube ici (pour l’instant, en tout cas. YouTube va probablement le censurer).
L’avis du Dr Janci Chunn Lindsay au CDC
« Bonjour, je m’appelle Dr Janci Chunn Lindsay. Je suis titulaire d’un doctorat en biochimie et biologie moléculaire de l’Université du Texas, et j’ai plus de 30 ans d’expérience scientifique, principalement en toxicologie et en biologie moléculaire.
Au milieu des années 1990, j’ai contribué à la mise au point d’un vaccin contraceptif humain temporaire qui a fini par provoquer une destruction ovarienne auto-immune et la stérilité chez les animaux de test, malgré nos efforts pour contrecarrer ces effets.
Je suis fermement convaincue que tous les vaccins de thérapie génique doivent être arrêtés immédiatement en raison de multiples problèmes de sécurité.
Les vaccins covid pourraient induire des anticorps à réaction croisée 4 avec la syncytin e 5 et nuire à la fertilité ainsi qu’à l’issue de la grossesse.
Premièrement, il existe une raison crédible de croire que les vaccins covid auront une réaction croisée avec la syncytine et les protéines de reproduction dans le sperme, les ovules et le placenta, ce qui entraînera une altération de la fertilité, de la gestation et de la reproduction.
Le Dr Bill Gallaher, virologue respecté, a présenté d’excellents arguments expliquant pourquoi on peut s’attendre à une réaction croisée. En raison des similitudes de conformation du feuillet bêta 6 des protéines spike 7 et des syncytine-1 et syncytine-2.
Je n’ai pas encore vu une seule étude immunologique qui le réfute. En dépit du fait qu’il suffirait d’une seule journée aux fabricants pour réaliser ces études sur la syncytine afin de s’en assurer [une fois qu’ils auraient le sérum des individus vaccinés]. Cela fait plus d’un an que l’on a affirmé pour la première fois que cela pouvait se produire [le corps attaquant ses propres protéines de syncytine en raison de la similarité de leur structure avec celle des protéines spike].
Les fausses couches signalées au VAERS 8 entraînent une demande d’arrêt du vaccin covid
Au 9 avril, 100 fausses couches ont été signalées dans le VAERS. Et il y a eu des rapports sur l’altération de la spermatogenèse et du placenta des cobayes de laboratoire, tant lors d’une infection naturelle qu’après vaccination, impliquant un rôle de la syncytine.
En outre, nous avons entendu de multiples rapports faisant état de troubles de la menstruation chez les femmes vaccinées. Ces cas doivent être examinés.
Nous ne pouvons tout simplement pas administrer ces [vaccins] à nos enfants, qui présentent un risque de 0,002 % de mortalité due à la maladie de covid, s’ils sont infectés, ni à d’autres membres de la population en âge de procréer, sans mener une enquête approfondie sur cette question.
Si nous le faisions, nous pourrions potentiellement stériliser une génération entière. L’hypothèse que cela ne se produira pas et les quelques rapports anecdotiques sur les grossesses dans le cadre des tests de vaccin ne sont pas une preuve suffisante qu’il n’y aura pas d’impact de ce type à l’échelle d’une vaccination de masse.
Le vaccin covid provoque des troubles sanguins
Deuxièmement, toutes les thérapies géniques [vaccins covid] provoquent des coagulopathies. Ce n’est pas le fait d’un seul fabricant.
Et cela ne concerne pas qu’un groupe d’âge.
Nous constatons des décès par coagulopathie chez de jeunes adultes en bonne santé, sans comorbidité secondaire.
Au 9 avril, 795 rapports relatifs à des troubles de la coagulation sanguine ont été enregistrés dans le système de notification VAERS, dont 338 pour des cas de thrombocytopénie.
Pourquoi ceci se produit s’explique. L’infection naturelle est connue pour provoquer une coagulopathie due à la protéine spike. Tous les vaccins de thérapie génique 9 incitent l’organisme à fabriquer la protéine spike. Zhang et al, [dans un article scientifique publié dans le Journal of Hematology & Oncology 10] en septembre 2020, ont montré que si vous injectez la protéine spike à des souris humanisées 11 (elles ont des récepteurs ACE-2 12 aux caractéristiques humaines sur les plaquettes sanguines), vous obtenez également une thrombose disséminée.
La protéine spike incubée avec du sang humain in vitro a également provoqué le développement de caillots sanguins résistant à la fibrinolyse (la fibrinolyse est le processus par lequel l’organisme détruit les caillots sanguins).
La protéine spike provoque des problèmes thrombocytaires qui ne peuvent être résolus par des moyens naturels. Et tous les vaccins doivent être arrêtés dans l’espoir qu’ils puissent être reformulés pour éviter cet effet indésirable ».
Troisièmement, il y a des preuves solides de l’évasion immunitaire…
À ce moment de son témoignage, la Dr Janci Chunn Lindsay a été interrompue par une voix d’homme : « Merci pour votre commentaire, votre temps est écoulé ».
J’ai contacté le Dr Janci Chunn Lindsay pour savoir ce qu’elle voulait partager avec l’ACIP, en plus de ses préoccupations concernant la fertilité et les troubles de la coagulation sanguine.
Elle m’a renvoyé son troisième point, qu’elle a soumis comme témoignage écrit.
Troisièmement, il existe des preuves solides de l’évasion immunitaire et le fait que l’inoculation sous la pression de la pandémie avec ces vaccins problématiques entraîne la création de mutants plus mortels qui ont deux effets, celui d’infecter une population plus jeune et celui de provoquer davantage de décès dans la population que ce qui se serait produit sans intervention. En d’autres termes, il existe des preuves que les vaccins aggravent la pandémie.
Nous observons clairement une dépression immunitaire à la suite immédiate de la vaccination [voir le nombre de décès causés par le World Meter Global covid après les dates d’inoculation] et qu’il existe des régions 13 immunosuppressives sur les protéines spike, ainsi que sur la syncytine-2, qui pourraient probablement en être la cause, par le biais d’un mécanisme impliquant les lymphocytes T. Si nous n’arrêtons pas cette campagne de vaccination jusqu’à ce que ces questions puissent être étudiées, nous pourrions assister à un phénomène tel que celui observé chez les poulets atteints de la maladie de Marek 14.
Nous avons maintenant suffisamment de preuves pour établir une corrélation claire entre l’augmentation des décès dus au covid et les campagnes de vaccination. Ce n’est pas une coïncidence. C’est un effet malheureux et involontaire des vaccins. Nous ne pouvons tout simplement pas fermer les yeux et prétendre que cela ne se produit pas. Nous devons cesser immédiatement toute administration de vaccins covid, avant de créer une véritable pandémie que nous ne pourrions pas maîtriser.
Une scientifique du MIT 15 s’inquiète également des problèmes de coagulation sanguine et de fertilité
Stephanie Seneff, Ph. D., experte en synthèse des protéines, pense que l’hypothèse du Dr Lindsay est correcte. « Je partage tout à fait ces préoccupations », m’a écrit Mme Seneff, qui est chercheuse principale au MIT, dans un courriel qui donne à réfléchir.
« Le risque de troubles de la coagulation sanguine et le risque de stérilisation ne sont qu’une partie de l’histoire. Il existe également d’autres effets potentiels à long terme de ces vaccins, tels que les maladies auto-immunes et l’évasion immunitaire, par laquelle les vaccins administrés aux personnes immunodéprimées accélèrent le taux de mutation du virus de sorte que les anticorps acquis naturellement et ceux induits par le vaccin ne sont plus efficaces ».
Comme le Dr Lindsay, le Dr Seneff pense qu’il faut arrêter immédiatement les campagnes de vaccination contre le covid.
« Cet essai clinique massif sur la population générale pourrait avoir des effets dévastateurs et irréversibles sur un très grand nombre de personnes », explique le Dr Seneff.
Malgré ces inquiétudes concernant la fertilité et les troubles sanguins, le panel du CDC a voté vendredi dernier en faveur de la reprise de l’utilisation du vaccin de Johnson et Johnson. Ils ont cependant suggéré qu’une note d’avertissement de la FDA soit ajoutée. Leur argument contre l’arrêt de la vaccination covid ? Le CDC estime que les avantages l’emportent sur les risques.
** À propos du Dr Janci Chunn Lindsay
La Dr Janci Chunn Lindsay est directrice de la toxicologie et de la biologie moléculaire pour Toxicology Support Services, LLC. Elle est titulaire d’un doctorat en biochimie et biologie moléculaire de la Graduate School of Biomedical Sciences de l’Université du Texas, M.D. Anderson Cancer Center-Houston. Mme Lindsay possède une vaste expérience de l’analyse du profil moléculaire des réponses pharmacologiques. Son expertise est centrée sur l’évaluation de la dynamique complexe de la toxicité, telle que la pharmacologie des substances toxiques, la voie d’exposition, le métabolisme de l’hôte et les effets cellulaires ultérieurs, dans la mesure où ils sont liés à la contribution de substances spécifiques à la déficience, au risque pour la santé et la fertilité, et aux maladies humaines.
* À propos de Jennifer Margulis, Ph. D.
Jennifer Margulis, Ph. D., est une journaliste d’investigation, auteur de livres et lauréate du prix Fulbright. Elle est l’auteur de Your Baby, Your Way : Taking Charge of Your Pregnancy, Childbirth, and Parenting Decisions for a Happier, Healthier Family, co-auteur (avec Paul Thomas, M.D.) de The Vaccine-Friendly Plan, et The Addiction Spectrum : A Compassionate, Holistic Approach to Recovery. Suivez-la sur Facebook, Twitter et Pinterest.
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Notes
1 Les « vaccins » géniques proposés en mai 2021 sont soit à ARN messager (Pfizer-BioNTech et Moderna), soit à ADN modifié (AstraZeneca et Johnson & Johnson). Tous sont doublement expérimentaux, car il s’agit de techniques de vaccination nouvelles et les tests cliniques sont loin d’être terminés.
2 Évasion immunitaire : suite à certaines mutations (mutations non silencieuses ayant des conséquences sur la biologie du virus), de la protéine spike en particulier (voir la note ci-dessous), un virus se transforme en un variant qui échappe à la réponse immunitaire développée par une personne immunisée contre le virus initial (soit par le vaccin, soit naturellement).
3 CDC : Centers for Disease Control and Prevention. Les CDC constituent la principale agence fédérale des États-Unis en matière de protection de la santé publique.
4 La réactivité croisée, au sens général, est l’effet d’un agent qui n’est pas l’effet principal attendu. En immunologie, la définition de la réactivité croisée fait référence à la réaction du système immunitaire aux antigènes (les protéines spike dans notre contexte). Il peut y avoir une réactivité croisée entre le système immunitaire et les antigènes de deux agents pathogènes différents, ou entre un agent pathogène et des protéines sur des agents non pathogènes (dans notre contexte, la protéine spike et la syncytine) et possiblement provoquer un effet néfaste.
5 La syncytine-1 et la syncytine-2 sont deux protéines présentes chez les mammifères, dont l’homme. Elles jouent un rôle important dans le développement du placenta.
6 Feuillet bêta d’une protéine : une caractéristique spatiale d’une protéine.
7 Le SARS-Cov2, un des 7 coronavirus capables d’infecter les humains, est responsable du covid. C’est un virus à ARN simple brin (acide ribonucléique). Son enveloppe est faite de protéines dont la protéine spike qui lui permet de pénétrer nos cellules et l’identifie auprès de notre système immunitaire.
8 VAERS : Vaccine Adverse Event Reporting System. C’est un programme étasunien pour la sécurité des vaccins, cogéré par les CDC et la Food and Drug Administration (FDA, Agence étasunienne des produits alimentaires et médicamenteux). Le VAERS est un programme de surveillance qui recueille des informations sur les événements indésirables survenant après l’administration de vaccins.
9 Les autres types de vaccins contiennent la protéine spike (des vaccins non encore produits).
10 « Le SARS-CoV-2 se lie à l’ACE2 des plaquettes pour favoriser la thrombose chez les malades du covid ». Zhang, S., Liu, Y., Wang, X. et al. SARS-CoV-2 binds platelet ACE2 to enhance thrombosis in COVID-19. J Hematol Oncol 13, 120 (2020). https://doi.org/10.1186/s13045-020-00954-7
11 Souris humanisée : une souris de laboratoire qui a été greffée avec du matériel humain (gène, cellule, etc.).
12 ACE2 : angiotensin-converting enzyme 2. Une protéine présente à la surface de certaines de nos cellules qui sert d’accroche (de récepteur) au SARS-Cov2 pour les pénétrer.
13 Région d’une protéine : partie d’une protéine ayant une fonction spécifique.
14 Gurung A, Kamble N, Kaufer BB, Pathan A, Behboudi S. Association of Marek’s Disease induced immunosuppression with activation of a novel regulatory T cells in chickens. PLoS Pathog. 2017;13(12):e1006745. Published 2017 Dec 21.doi:10.1371/journal.ppat.1006745 Le virus de la maladie de Marek (MDV) est un alphaherpèsvirus qui infecte les poulets, transforme les cellules T CD4+ et provoque des lymphomes mortels. En outre, le MDV induit une immunosuppression au début de l’infection en provoquant la mort cellulaire des lymphocytes infectés.
15 MIT : Massachusetts Institute of Technology. Une université étasunienne des plus réputées au monde.
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Article original en anglais : Halt Covid Vaccine, Prominent Scientist Tells CDC
Jennifer Margulis* www.jennifermargulis.net/…, le 27 avril 2021
Traduction, résumé et notes de fin : Francis Leboutte (mpOC-Liège, ww.liege.mpOC.be)
Le 11 mai 2021, mise à jour le 12 mai 2021