Pass Sanitaire

Le séparatisme vient de l’Etat !

Jean-Jacques Crèvecoeur l’avait annoncé dans ses conversations, il y a un peu plus d’un an, au moment du premier confinement de 2020.

Dans sa conversation du lundi n°33, il avait affirmé que nous ne serions libérés des confinements que si nous nous montrions dociles en acceptant un vaccin[1].

Cette vidéo, vue par près de 3 millions de personnes, avait été censurée.

À l’époque, je ne savais pas ce qu’il fallait penser de sa prédiction, ni de la situation dans laquelle nous nous trouvions.

J’étais inquiet mais je ne parvenais pas à croire que l’on en arriverait là.

Je concède qu’il avait vu juste.

Nous y sommes.

Nous ne sortons des confinements et autres couvre-feux que pour mieux entrer dans l’ère du vaccin obligatoire.

L’homme aux deux Républiques

Le Président de la République française a parlé de vaccins, de civisme et de punition[2].

Il a distingué :

  • Les “bons citoyens vaccinés”, qui peuvent prétendre au paradis terrestre : restaurants, cinémas, spectacles, sports en salle, discothèques et piano-bar.
  • Des damnés : les “mauvais citoyens non vaccinés”. Ceux-là sont égoïstes, irresponsables et dangereux. Ils seront voués aux gémonies.

Il crée, de facto et de jure, une double société.

Pour un homme qui dit se battre contre le séparatisme, c’est un comble !

La déclaration de guerre aux non vaccinés

Le médiatique Martin Blachier, médecin de son état, a affirmé qu’il fallait faire la “guerre” aux “antivax”[3].

Il a ajouté que le virus n’était plus “notre ennemi”. Pour lui, le vrai ennemi, ce sont les antivax.

Je connaissais les médecins de guerre, ceux qui vont sur le front. Je ne connaissais pas la guerre des médecins, celle que certains d’entre eux mènent contre la population.

Heureusement que cet homme si belliqueux ne soigne personne !

En attendant, ses mots reflètent bien l’attitude d’Emmanuel Macron.

L’Etat est en guerre. L’État veut votre peau, surtout celle du haut du bras. Car pour eux “antivax” et “non vaccinés”, c’est à peu près la même chose.

Un autre personnage médiatique, journaliste celui-là, Emmanuel Lechypre, s’est montré tout aussi menaçant[4].

Il a déclaré :

« Les non-vaccinés, je ferais tout pour en faire des parias de la société. Moi, je les attends, on vous vaccinera de force. Moi, je vous ferai emmener par deux policiers au centre de vaccination. Il faut aller les chercher avec les dents et les menottes ! »

Le ton est violent. La menace explicite. L’envie meurtrière ne semble pas loin.

Soignants applaudis, soignants méprisés

En mars et en avril 2020, alors que les services hospitaliers, désorganisés par 20 ans de lutte acharnée de nos gouvernants contre l’hôpital, se sont retrouvés à gérer une arrivée importante de malades du Covid 19. Ils ont été applaudis tous les soirs.

Ils ont été félicités par les autorités politiques et sanitaires.

Aujourd’hui, ils sont montrés du doigt et menacés de licenciement tandis que l’on continue de supprimer les lits d’hôpitaux[5].

Emmanuel Macron a en effet déclaré :

« A partir du 15 septembre, si vous êtes soignant et que vous n’êtes pas vacciné, vous ne pourrez plus travailler et vous ne serez plus payé[6]« 

Olivier Véran, Ministre de la Santé, a confirmé par un tweet les dires du Président :

“La vaccination est une chance, pour soi et les autres. Une grande majorité des soignants est déjà protégée. J’invite ceux qui ne le sont pas à se faire vacciner sans délai. Une loi prévoit qu’à compter du 15 septembre, des contrôles seront effectués, et des sanctions appliquées.”

Le coût de l’hôpital

Ces histoires de lits d’hôpitaux n’ont rien d’anodin.

C’est le manque de lits à l’hôpital, qui a justifié le premier confinement[7]. Ce n’est pas la protection directe des citoyens contre un virus surpuissant.

Il fallait protéger le système de santé contre le risque de saturation.

Or, ce risque de saturation est imputable aux différents gouvernements qui se sont succédé.

L’équipe actuelle n’a pas hérité d’une situation simple. C’est juste. Mais depuis le début de la crise sanitaire, rien ou très peu a été fait pour les hôpitaux.

Et ce n’est pas un manque d’argent. Car dans ce cas, pourquoi les autorités nationales et européennes ont-elles signé des contrats faramineux, de plusieurs milliards d’euros avec le laboratoire Gilead ? Ce dernier proposait un médicament notoirement toxique, cher et inefficace.

Mais il a été acheté à grand coûts alors que l’on interdisait l’hydroxychloroquine au nom d’une étude bidonnée[8, 9] !

S’il faut faire des économies, pourquoi ne pas tailler dans les traitements coûteux ?

Le remdesivir de Gilead coûtait 390$ le flacon et il fallait au moins 5 ou 6 flacons pour accompagner le patient. Le tout coûtait l’équivalent de 2000 euros par patient…[10]

L’Hydroxychloroquine coûtait quelques euros par patient.

Et il n’y a plus d’argent pour l’hôpital ? Il y en a pour Gilead qui, à son tour, en a ou en a eu pour divers médecins médiatiques comme Yazdan Yazdanpanah.

Que des scientifiques travaillent avec des laboratoires s’entend. Mais, dans ce cas, ils ne doivent pas dicter les politiques de santé publique…

Votre santé ne les intéresse pas

Ils veulent que vous soyez vaccinés, c’est sûr.

Est-ce pour votre santé ?

Permettez-moi d’en douter.

Car, dans ce cas, pourquoi le gouvernement a-t-il :

  • Continué de supprimer des lits d’hôpital[11] ?
  • Interdit l’hydroxychloroquine au grand public juste avant l’arrivée de la pandémie en France, puis aux médecins généralistes[12, 13, 14] ?
  • Sommé de se taire des médecins généralistes ayant soigné avec succès leurs patients avec des antibiotiques[15] ?
  • Laissé parler des médecins médiatiques qui ne soignent pas et poursuivi les médecins dévoués qui tentent de trouver des solutions et qui démontrent qu’elles fonctionnent[16] ?
  • Omis de parler des traitements préventifs au covid 19 : vitamine D, thym, romarin, citron, huile essentielle de Ravintsara, artemisia annua, etc. ?
  • Dénigré ou oublié les traitements curatifs existants : zinc, ivermectine, protocole Raoult, protocole Marik (Vitamine C), etc.
  • Masqué les enfants à l’école ?
  • Imposé un vaccin expérimental à tout le monde alors même que les données scientifiques sur ces vaccins ne sont pas publiées[17, 18].

L’État d’urgence permanent

La crise sanitaire permet au gouvernement d’annoncer des mesures extrêmement coercitives du jour au lendemain.

Ces mesures n’ont pas été débattues à l’Assemblée, elles n’ont jamais été présentées en amont.

Elles tombent d’un seul coup. Désormais, seuls les décrets gouvernementaux font la loi. Et le temps d’adaptation des citoyens est minime.

Et on s’étonne que plus personne ne vote ?

Une mortalité liée au Covid 19 est toujours aussi faible

Tout cela se fait alors que la mortalité liée au Covid 19 reste très basse[19].

Elle a été élevée durant deux mois : mars et avril 2020.

Depuis, elle a considérablement baissé, même s’il y a des hauts et des bas.

Elle pourrait remonter cet hiver comme pour d’autres virus touchant le système respiratoire.

Mais s’adapter à ce risque sans passer en force la vaccination pour tous est possible.

Les effets secondaires liés aux vaccins ne sont pas que pour les autres…

L’Agence Médicale européenne au 4 juillet 2021 estime qu’il y aurait au sein de l’Union européenne[20] :

  • 206 668 effets secondaires liés à l’injection Pfizer-BioNTech pour 3 848 décès ;
  • 152 250 effets secondaires liés à l’injection AstraZeneca pour 938 décès ;
  • 36 294 effets secondaires liés à l’injection Moderna pour 347 décès.

Cela donne au moins 5000 morts des vaccins depuis le lancement de la campagne vaccinale.

Certaines estimations indépendantes iraient jusqu’à 10 000 morts liés aux vaccins[21].

Vous me direz qu’il y a eu beaucoup plus de morts du Covid 19.

Peut-être, mais les chiffres ne donnent pas la moyenne d’âge et l’état de santé des morts.

Les morts du Covid étaient presque tous soit très âgés (80 ans ou plus), soit “à risque”. Ils étaient atteints de pathologies graves ou en grand surpoids.

Les morts liés aux vaccins étaient, à priori, pour la plupart en bonne santé et bien moins âgés, même s’il faudrait avoir plus de données sur ce point.

L’impossible retour à la normale

Autour de moi, beaucoup de personnes se font vacciner parce qu’elles espèrent un retour à une vie normale.

Hélas, c’est une illusion.

Nous sommes trop sortis de la “normalité” pour espérer y revenir aussi vite.

Le pouvoir a pris l’habitude de nous imposer des mesures extrêmes. Ces mesures sont globalement acceptées au nom de “notre bien”.

Le pouvoir ne lâchera pas cette mainmise de sitôt.

Il y aura toujours des menaces, des virus, des terroristes, etc., dont il voudra nous protéger.

En attendant, dans les pays massivement vaccinés, le masque est encore de vigueur et les confinements réapparaissent… Où est la normalité[22] ?

Zone de turbulence

Nous rentrons dans des temps incertains et de combats.

Le gouvernement nous force la main.

Depuis la nuit des temps, lorsqu’une tribu déclare la guerre à une autre tribu, cela se termine par un affrontement ou un asservissement.

La démocratie était censée nous sortir de ce type archaïque de relations en créant un dialogue entre gouvernés et gouvernants.

Quand le dialogue se transforme en menace, le retour aux lois anciennes n’est jamais loin.

Qui vivra, verra !

** **

Rencontre Ruffin-Stiegler

https://www.youtube.com/watch?v=Z_c9dcjC85k

1 heure très intéressante

** **

Covid19 protection soignant

Vaccin ou pas vaccin en France faute de moyens le personnel soignant n’est absolument pas efficacement protégé. Le gouvernement en est le responsable.

La réalité est que personne n’est efficacement protégée contre la Covid-19 avec des masques chirurgicaux ou tissu, de plus la majorité de la population par manque d’information manipule le masque avec de mauvais gestes sans en avoir conscience d’où l’explosion des contaminations, mais qui le sait ?
A cela se rajoute qu’en France le personnel soignant n’est lui aussi pas assez protégé, comme en Chine il devrait porter en sus des masques FFP2 ou FFP3, des surlunetttes et surtout des combinaisons intégrales de protection, mais il n’y en a pas assez, en conséquence le personnel soignant est lui aussi de plus en plus contaminé notamment à l’hôpital !

EHS-France

** **

Droits de l’Homme ; crime contre l’humanité, la folie de Macron

Lisez les bien, chacun, et attardez vous entre autre sur les 8 puis 9 & 10… sans oublier leurs dates !

1) Serment d’Hippocrate (-460//377) : « je ne remettrai à personne du poison, si on m’en demande, ni ne prendrai l’initiative d’une telle suggestion. »

2) Code de déontologie médicale, article 36 :

Article R4127-36 du Code de santé publique: « le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas. Lorsque le malade, en état d’exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposé, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences »

3) Code de Nuremberg (1947) : « le consentement du sujet humain est absolument essentiel. Le pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son consentement à une expérience médicale ou scientifique »

4) Déclaration de Genève pour les médecins (1948) : « je respecterai l’autonomie et la dignité de mon patient. Je n’utiliserai pas mes connaissances médicales pour enfreindre les droits humains et les libertés civiques, même sous la contrainte. Je garderai le respect absolu de la vie humaine, dès la conception. Je considérerai la santé de mon patient comme mon premier souci »

5) Déclaration d’Helsinki (1996) signée par 45 pays dont la France :

Article 25 : « la participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire. Aucune personne capable de donner son consentement éclairé ne peut être impliquée dans une recherche sans avoir donné son consentement libre et éclairé »

6) Convention d’Oviedo (1997) signée par 29 pays dont la France) :

Article 5 : « une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement »

7) Loi Kouchner (4 mars 2002) :

Article 111-4 : « toute personne prend avec le professionnel de santé et compte tenu des informations qu’il lui fournit, les décisions concernant sa santé. Le médecin doit respecter la volonté de la personne après l’avoir informée des conséquences de ses choix. Si la volonté de la personne de refuser ou d’interrompre un traitement met sa vie en danger, le médecin doit tout mettre en œuvre pour la convaincre d’accepter les soins indispensables. Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment »

8) Arrêt Salvetti (2002) : aucun traitement médical n’est obligatoire au sein de l’Union européenne : « en tant que traitement médical non volontaire, la vaccination obligatoire constitue une ingérence dans le droit au respect de la vie privée, garanti par l’article 8 de la Convention européenne des Droits de l’Homme et des libertés fondamentales » (arrêt Salvetti c/Italie-CEDH décision du 9 juillet 2002 ; n°42197/98)

9) Code civil français :

Article 16-1 : « chacun a le droit au respect de son corps. Le corps est inviolable »

10) Résolution 2361 du Conseil de l’Europe (28 janvier 2021) : avis consultatif : l’Assemblée demande instamment aux États membres et à l’Union européenne :

Article 731 : « de s’assurer que les citoyennes et les citoyens sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement »

Article 732 : « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risque potentiel pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner »