C’est dur d’être vacciné par des cons…

En référence à la Une de Charlie Hebdo du 28 juillet 2021 titrant « Hitler débordé par les antivax »

et figurant Hitler à la plage dans une bouée licorne et disant « C’est dur d’être cité par des cons ! ».

Lettre à Charlie à propos de sa fascination vaccinale et de ses positions réductionnistes vis à vis des opposants au sésame sanitaire.

par Jean-Paul Bourdineaud • 29 juillet 2021

Bonjour Charlie,

je suis abonné depuis l’attentat meurtrier de 2015, par solidarité. J’étais avant un lecteur assidu, et je considère les dessinateurs, auteurs et membres de l’équipe assassinés comme des amis : je ne les connaissais pas de visu, mais leurs écrits, dessins et idées m’imprégnaient et occupaient une partie de mon monde mental, comme le produit l’interaction d’avec des amis et le processus nommé innutrition par Montaigne. Ce préambule pour souligner le fait que ce qui suit, en fait une critique de vos positions pro-vaccinalistes, provient d’un ami bien intentionné et non pas d’un obscurantiste au front de taureau.

Je suis professeur à l’Université de Bordeaux, où j’enseigne la biochimie, la microbiologie et la toxicologie environnementale. Mes recherches portent sur les effets toxiques et les mécanismes de défense biochimiques et génétiques des organismes exposés aux polluants dans leur environnement. Les travaux publiés par mes collaborateurs et moi-même apparaissent sur le site ouaibe du National Center for Biotechnology Information (pubmed.ncbi.nlm.nih.gov), dès lors que vous tapez mon nom.

Afin d’être le plus honnête possible, je dois te dire que je suis également membre du conseil scientifique du CRIIGEN (Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le génie GÉNétique – criigen.org). Par réciprocité, il serait de bon aloi que les médecins apparaissant dans les médias voulussent bien révéler leurs conflits d’intérêt, et surtout que les journalistes osassent leur poser la question. Quant à moi, et depuis que je suis universitaire, je n’ai jamais reçu de gratifications, prébendes, émoluments ou primes d’un quelconque industriel ou organisme privé ; mon association au CRIIGEN est du pur bénévolat. Et non, nous ne sommes pas anti-vaccinalistes : écoutez par exemple mon ami Christian Vélot, président du conseil scientifique du CRIIGEN et maître de conférences en génétique à l’Université de Paris-Sud, lors de son entretien sur France Soir ou sa conférence censurée par Youtube. Nous sommes explicites quant à notre volonté de voir advenir un véritable vaccin, efficace, sûr, et protégeant sur la durée.

Ni obscurantistes ni complotistes

Dans le numéro 1512 de Charlie Hebdo du 14 juillet dernier, une planche de dessins de Foolz se moque des médecins et infirmières non vaccinés. Bien entendu, il s’agit de caricatures dont l’essence même est l’exagération des traits, mais tout de même, ce que l’on retire de cette planche c’est que le personnel soignant non vacciné est constitué par une bande d’obscurantistes totalement déraisonnables, anti-scientifiques, voire sectateurs, et penchant vers l’extrême-droite (celle trumpienne, au minimum). C’est en substance ce que signifiait le titre d’un article de Libération du 18 juillet 2021 – à propos des manifestations contre le passe sanitaire – selon lequel Florian Philippot et l’extrême-droite récupérait le mécontentement des gueux. Ce même jour, sur le site ouaibe de Libération, Dov Alfon se montrait navré par une « certaine complaisance envers des sceptiques du Covid et des opposants à la science qui ont défilé ce week‑end dans les rues en relayant toutes les théories complotistes imaginables ». Qu’entend donc M. Alfon par complaisance ? Regretterait-il que la police n’eût pas chargé les manifestants ni crevé des yeux ou arraché des mains ? La planche de Foolz est intitulée « Antivax à l’hôpital » et contribue également à l’amalgame. Ce procédé consistant à mettre dans le même sac tous les courants d’opposition au passe sanitaire est lamentable car méprisant les opposants sans discernement (des « gueux » selon Libération). Nous autres camarades du conseil scientifique du CRIIGEN, ne sommes ni anti-vaccinalistes, ni complotistes. Je ne sais pas bien ce que recouvre cette nouvelle injure – avant, à gauche, l’insulte de « fasciste » permettait de dégommer un trublion du débat, aujourd’hui c’est celle de « complotiste » – et de quel complot nous accuse-t-on (non, nous ne pensons pas que la pandémie est une invention visant à nous priver de nos libertés, si c’est cela que les journalistes parisiens dominants et Dov Alfon imaginent). Nous avançons des arguments scientifiques et recevables dès lors que la bonne foi est de rigueur. Ce qui est vrai pour nous l’est également pour la grande majorité des personnes s’insurgeant contre le passe sanitaire.

Choix vaccinal

Dans ce même numéro, Gérard Biard dans son article « Pour une vaccination inclusive » (on s’achemine plutôt vers une vaccination forcée) nous dit qu’aujourd’hui nous aurions le choix en termes de vaccins puisqu’il cite ceux américains, allemand, anglais, russe, chinois et belge. C’est l’argument de l’offre : elle est pléthorique, alors pourquoi la demande ne suit-elle pas ? Et bien parce qu’en fait nous n’avons pas le choix : nous ne pouvons recevoir que les vaccins américains ou anglais, basés sur l’ADN ou l’ARN recombinants. En ce qui me concerne, je désire un véritable vaccin pasteurien : c’est à dire contenant le virus SARS-CoV-2, et même ses différentes variantes inactivées (tuées). Les vaccins chinois Sinopharm en font partie. Dans un article publié dans le Journal of the American Medical Association, le 6 juillet 20212, les résultats préliminaires de la phase III des essais cliniques des deux vaccins Sinopharm, celui de Pékin (utilisé au Maroc) et celui de Wuhan, montrent que celui de Pékin est efficace à 78 % contre 72 % pour celui de Wuhane. L’OMS a validé son utilisation en urgence le 7 juin dernier. En mai dernier l’UE prétendait vouloir, enfin, évaluer ces vaccins chinois : alors que deux semaines avaient suffi pour valider les vaccins anglais et américains, nous attendons toujours la décision de l’UE pour ceux chinois. L’un des vaccins cubains (dont les médias dominants ne parlent jamais) est basé sur une protéine chimérique dans laquelle la protéine de surface S du SARS-CoV-2 est fusionnée à la toxine tétanique, laquelle protège la partie coronavirale contre la dégradation. Or, nous sommes tous vaccinés contre le tétanos (c’est bien entendu une condition obligatoire pour recevoir ce vaccin) avec des globules blancs circulant déjà « dressés » contre la toxine tétanique et qui amplifient donc la réponse à la protéine virale S. La société pharmaceutique nantaise Valneva évalue actuellement un vaccin de type pasteurien mais comme le gouvernement français n’a pas voulu investir dans sa production, celle-ci est réalisée en Grande-Bretagne qui bénéficiera en priorité des premières doses. Les français devront attendre le printemps 2022. À un moment où la vaccination devient obligatoire et où l’on demande aux candidats à la vaccination de signer une décharge de responsabilité du fabriquant, la moindre des exigences serait que nous eussions un véritable choix vaccinal et non pas uniquement les vaccins biotechnologiques. Voilà pour l’argument du choix.

Incrimination des personnels soignants non vaccinés

Dans son article, Gérard Biard insinue que les soignants non vaccinés seraient responsables de la mort de patients fragiles. Veut-il donc signifier que ceux vaccinés ne transmettent pas le virus ? Non, puisqu’il reconnaît que la vaccination n’empêche ni la contamination ni la contagion. Alors, que faut-il comprendre ? Il ajoute que la vaccination diminue grandement les risques et les effets ; peut-être pour les vaccinés, mais pas pour les patients fragiles : le virus transmis par un vacciné est le même que celui transmis par un non vacciné. Le passage par un vacciné n’atténue pas le virus. Tout ce que l’on peut espérer c’est qu’un vacciné contaminé est porteur d’une charge virale moins importante et que par conséquent il transmet le virus à un nombre d’individus « naïfs » moins importants (il faudrait déjà vérifier la production d’anticorps chez les vaccinés par un test sérologique, ce qui n’est jamais réalisé ; une hypothèse plausible est que les vaccinés transmetteurs du virus ont précisément produit peu ou pas d’anticorps). Par le terme d’individus naïfs, on désigne ceux qui n’ont jamais été en contact avec ce coronavirus. Mais le patient hospitalisé qui reçoit le virus d’un vacciné développera la même pathologie que s’il l’avait reçu d’un non vacciné (si l’on refuse toute forme de pensée magique).

Fin juin 2021, lorsque deux résidents – pourtant vaccinés – d’une maison de retraite des Landes sont morts du covid et plusieurs soignants touchés, le ministre Véran en déplacement sur site a osé incriminer et rendre responsable sans preuve une soignante non vaccinée. Après protestation des syndicats, l’Agence régionale de Santé (ARS) de Nouvelle-Aquitaine a mentionné que la contamination par une soignante « est plus une hypothèse qu’une affirmation », et qu’il est peu probable de retrouver le patient 0.

Peut-on réellement parler de vaccin ?

Le terme même de vaccin est quelque peu exagéré. Qu’est-ce qu’un vaccin digne de cette appellation conceptuelle ? Prenons l’exemple du vaccin contre le tétanos : administré, il protège contre la bactérie Clostridium tetani très efficacement, sûrement (il y a un recul de plusieurs décennies avec une pharmacovigilance à la pointe), et durablement, c’est à dire pendant une vingtaine d’années. Un rappel tous les vingt ans suffit à protéger la vie entière. C’est ce que l’on peut appeler un vrai vaccin.

a/ Efficacité. Les vaccins disponibles en France présentent au dire des industriels anglais et américains une efficacité de plus de 90 %. Admettons que ces vaccins ont été efficaces en début d’année contre la souche chinoise d’origine et les formes variantes européennes. Mais il est admis que cette efficacité a été presque nulle ou faible contre les formes variantes sud-africaine et brésilienne, et moyenne contre la variante anglaise. Contre la forme indienne delta, visiblement les vaccinés la contracte très facilement. En Israël, où 58 % de la population est vaccinée, 60 % des patients hospitalisés en état sérieux ont été vaccinés et le premier ministre Naftali Bennett reconnaît que « nous ne savons pas exactement jusqu’à quel degré le vaccin aide, mais c’est significativement moins qu’espéré » (Jerusalem Post, sur son site ouaibe le 17 juillet 2021h).

Aux Pays-Bas, le nombre d’employés hospitaliers vaccinés contractant le virus est très élevé, ont averti des virologues hollandais : au centre médical universitaire de Leyde 85 % des employés confirmés positifs avaient été complètement vaccinés (La Libre, journal belge, sur son site ouaibe le 20 juillet 2021). Donc, en quoi la vaccination obligatoire protègera-t-elle les patients vulnérables ? Le vaccin Janssen (Johnson & Johnson) est lui aussi beaucoup moins efficace contre la variante delta : des chercheurs de l’université de New-York ont conclu, dans une étude citée par le New-York Times, qu’il génère cinq fois moins d’anticorps contre cette mutation du virus (La Libre, sur son site ouaibe le 21 juillet 2021j).

b/ Durée de protection. La durée de protection conférée par une immunisation naturelle, c’est à dire après infection par le virus est d’environ huit mois ce qui est faible compte tenu de la vitesse de variation de ce virus. Une étude a montré que 70 jours après la seconde injection, le titre en anticorps diminuait de 50 et 80 % relativement au jour 20 post-vaccination, pour les vaccins de Pfizer et d’AstraZeneca, respectivement.

Avec les vaccins disponibles en France, cette durée est difficile à connaître exactement puisque les vaccinés ne sont pas surveillés par tests sérologiques, mais il est peu vraisemblable que la protection soit supérieure à celle de l’immunisation naturelle car les vaccins Pfizer et Moderna ne permettent la production d’anticorps que contre une seule protéine virale (la protéine S), alors que l’immunisation naturelle cible les cinq protéines que contient le virus SARS-CoV-2. En Israël une troisième dose est déjà planifiée, et en France les autorités de santé en parlent également, ce qui est une reconnaissance du fait que la protection dure peu dans le temps. Avec la vaccination contre la grippe, le public sait que cette protection ne dure qu’une saison hivernale (lorsqu’il y a protection). On ne pourra pas être vacciné tous les six ou huit mois puisque la moitié seulement de la population française est vaccinée six mois après le début de la campagne. Il faudrait au moins augmenter l’offre de vaccins pour attirer tous les publics et notamment ceux qui refusent les vaccins OGMs ou génétiques.

c/ Pharmacovigilance. Dans le cas du SARS-CoV-2 nous avons affaire à un traitement expérimental en phase III d’évaluation jusqu’au début de l’année 2023 (contrairement au mensonge du ministre Olivier Véran, recadré par Le Monde le lendemain). En France, la pharmacovigilance est très peu vigilante : elle n’enregistre que les cas les plus graves. Sans compter ce qui n’est pas recherché ou dosé : on sait que les vaccins – notamment ceux OGMs basés sur des adénovirus – sont causes d’un nombre faible de thromboses en regard du nombre de vaccinations. Des marqueurs des processus thrombotiques sont les D-dimères. Le dosage sanguin des D-dimères n’est réalisé que dans les cas, rares heureusement, de thromboses, mais le Dr Charles Hoffe (Canada) a décidé le dosage systématique de ces marqueurs chez ses patients ayant été vaccinés avec l’ARN de la protéine S. Sur un total de 900 individus, 62 % présentaient des taux anormalement élevés de D-dimères. Son interprétation est que tout le monde ne forme pas de gros caillots thrombotiques mais beaucoup produisent des micro-caillots s’infiltrant loin dans les capillaires et donc profondément dans les organes. L’urologue Diego Rubinowicz a également découvert que les niveaux de l’antigène PSA, un marqueur du cancer de la prostate et de l’inflammation de ce tissu, augmentaient chez les hommes après la vaccination avec l’ARN de la protéine S – ce qui signifie que la protéine S est produite par les cellules de la prostate et non pas seulement par les cellules musculaires au site d’injection. Cette dissémination du vaccin à travers l’organisme est corroborée par les déclarations du Dr Robert Malone (le créateur de la technologie des vaccins ARN) et par un rapport confidentiel de Pfizer où la distribution du vaccin (nanoparticules incluant l’ARN du gène de la protéine S) dans le corps de rats mâles et femelles a été suivie pendant 48 h. Il apparaît que ces corpuscules biochimiques sont retrouvés dans tous les tissus sans exception. Après le site d’injection (le muscle gastrocnémien, situé dans le mollet), les concentrations les plus importantes sont retrouvées dans le foie (concentration égale à 14,7 % de celle au site d’injection), la rate (14 %), les glandes surrénales (11 %), les ovaires (7,5 %), et la moelle osseuse (2 %).

En fermant les yeux (par refus de pratiquer les dosages correspondants) on occulte ces effets secondaires qui pour certains pourraient avoir des conséquences dommageables (les micro-caillots) à long terme. Maintenant que ces observations sont publiées pourquoi le ministère de la santé ainsi que les ARS ne diligentent-ils pas une grande étude à l’échelle nationale ?

Également, la toxicité potentielle de la protéine S n’est quasiment pas étudiée. Pourtant, le SARS-CoV-2 provoque des inflammations des cellules endothéliales (celles tapissant la surface de la lumière des vaisseaux sanguins) ; or, une étude publiée montre que ceci est dû à la toxicité de la protéine S qui parce qu’elle cible la protéine ACE2 (appelée récepteur du virus de manière abusive puisque telle n’est pas sa fonction physiologique ; elle est bien entendu parasitée par la protéine S du virus) cause une diminution du niveau fonctionnel d’ACE2 qui protège le système cardio-vasculaire4. Dans cette étude les auteurs ont injecté et donc infecté des hamsters avec un pseudo-virus porteur du gène de la protéine S (par conséquent l’équivalent des vaccins d’AstraZeneca et de Janssen). Une hypothèse compatible avec ces résultats est qu’une partie de la pathogénicité du virus serait due à la toxicité de la protéine S. Le vaccin de Sanofi annoncé pour le début de l’année 2022 est basé sur une protéine dite recombinante, c’est à dire produite dans des réacteurs par des cellules puis purifiée. Sa toxicité devrait être faible si rien n’est fait pour qu’elle entre dans nos cellules ; restant à l’extérieur des cellules, elle devrait être repérée immédiatement par le système immunitaire. En revanche, incluse dans des nanoparticules de lipides, elle pourrait entrer dans nos cellules et y exercer sa toxicité. Cette dernière possibilité n’est pas exclue lorsqu’on lit le Pr Jean-Luc Cracowski, directeur du centre de pharmacovigilance du CHU de Grenoble : « La technique consiste à fabriquer ces protéines Spike et à les injecter dans les cellules du corps pour stimuler le système immunitaire » (article de Mayeul Aldebert, Le Figaro, sur son site ouaibe le 8 juillet 2021). Cette déclaration du Pr Cracowski est quelque peu déroutante, voire inquiétante, et l’on espère que c’est le journaliste qui a mal retranscrit les propos du professeur, car le système immunitaire qu’il s’agit de stimuler est constitué en partie par certaines classes de globules blancs circulant à l’extérieur des cellules.

Un autre effet indésirable qui est écarté dogmatiquement est l’intégration de l’ARN vaccinal dans le génome des cellules humaines après rétro-transcription en ADN. Les édiles médicaux et universitaires parisiens (les Pr Fisher et Kahn, par exemple) nous ont dit que c’était impossible puisque la transcription inverse de l’ARN en ADN nécessitait l’action d’une enzyme appelée transcriptase-inverse, et que non seulement le SARS-CoV-2 mais également les vaccins à ARN ne contenaient pas cette enzyme. Antonio Fischetti nous disait la même chose dans Charlie Hebdo (9 décembre 2020) : « Concernant le côté OGM de certains d’entre eux [les vaccins], les scientifiques sont formels : il n’y a aucun risque que l’ARN du virus affecte notre génome ». Or, il a bien été démontré l’inverse dans un article publié dans les prestigieux comptes-rendus de l’Académie des sciences des Etats-Unis : l’ARN du SARS-CoV-2 peut être rétro-transcrit par des éléments génétiques mobiles (appelés rétrotransposons) présents dans les cellules humaines et qui ont une activité de type transcriptase-inverse5. Ceci explique, et c’était l’interrogation de départ des auteurs, pourquoi des individus ayant été naturellement infectés par ce virus restent positifs au test PCR (en réalité RT-PCR) plusieurs semaines après le début de l’infection en absence de multiplication virale (test antigénique négatif). Chez certains individus, une partie conséquente du génome viral est intégrée dans le génome et contribue à la production d’ARN viral longtemps après la guérison. Si le génome viral peut être intégré dans nos cellules après infection, la question de l’intégration dans nos cellules de l’ARN vaccinal sous sa contrepartie ADN devient pertinente, selon l’adage « qui peut le plus peut le moins ». Or, cette hypothèse est négligée et les travaux nécessaires pour la confirmer ou l’invalider ne sont pas entrepris puisque le dogme est tenace selon lequel sans rétro-transcriptase virale, un tel évènement est impossible.

Jouer avec la santé des gens en prétendant les protéger

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