Voici la base documentaire la plus incontournable
extraits
1. Les précédents du Sars et le détournement de la recherche virologique
• Les coronavirus sont étudiés de longue date
Les coronavirus (virus à « couronne ») sont une grande famille connue depuis les années 30, commune aux hommes et aux animaux, tels ceux de la bronchite humaine ou l’hépatite de la souris par exemple. Les études dédiées se sont multipliées à partir de la première épidémie de Sars en 2002.
• Les plus jeunes ne sont pas concernés par le syndrome respiratoire, seuls les très âgés décèdent
Les létalités du Sars-Cov-1 (2002) et du Mers (2012) sont limitées aux personnes âgées ou immunodéprimées, et cela vaut aussi pour le Sars-Cov-2, en dépit de mutations particulières lui conférant une plus grande contagiosité. Le taux d’infection en population générale est faible et la létalité est du niveau de la grippe saisonnière.
• La protéine de pointe est bien connue
La « spike », en français protéine de pointe, est une protéine commune à de nombreux virus. C’est une protéine infectieuse et inflammatoire, une virotoxine. Celle des coronavirus est très documentée ; elle a fait l’objet de nombreuses publications, voire de brevets, parfois déposés explicitement à des fins vaccinales, et portant éventuellement sur un coronavirus dans leur entier. Trois chercheurs américains, dont Ralph Baric, encore régulièrement sous contrat avec le National Institutes of Health (NIH), déposent dès début 2002 un brevet sur des méthodes de production de coronavirus recombinants, à l’aube de la première épidémie de Sars. En 2004 c’est au tour de l’Institut Pasteur et du CNRS de déposer un brevet sur une souche de coronavirus du Sars.
• Le « gain de fonction » est une pratique éprouvée et censée être encadrée
Les pratiques de biotechnologie consistant à insérer une ou des portions de génome dans un génome existant sont pratiquées, secrètement ou officiellement, dans tous les pays disposant de laboratoires et de scientifiques qualifiés, en particulier aux USA, mais aussi au Canada, en Chine. Étant donnés les risques sanitaires encourus un moratoire a imposé la suspension de ces pratiques sur le sol américain en 2014 ; partiellement levé en 2017, il est proposé de le renouveler en 2021. Entre 2015 et 2017, Ralph Baric et son collègue Boyd Yount déposent plusieurs versions successives d’un brevet portant sur des protéines « spike » chimériques.
• La recherche militaire est sous-traitée
De nombreux établissements effectuent des recherches autour des virus, dont les coronavirus, en particulier à l’initiative des États-Unis ou de la Chine. La DARPA est l’agence américaine de recherche militaire qui dispose de financements pour des programmes de recherche sur les agents biologiques depuis de nombreuses années. Un de ses principaux sous-traitants est la société Moderna, dont Stéphane Bancel l’actuel PDG est co-titulaire d’un brevet de 2017 sur un ARNm à destination oncologique. En plus, EcoHealth Alliance, officiellement non gouvernementale, est une organisation qui bénéficie de plusieurs millions de dollars du gouvernement américain. Dirigée par Peter Daszack elle a entre autres financé le laboratoire de Wuhan pour ses recherches sur le gain de fonction, en partenariat avec l’université de Caroline du Nord (USA). Les circuits de financements de ces travaux externalisés sont détaillés dans l’ouvrage de Michel Cucchi, « Influences et pandémies ». Parmi ces financements certains sont issus du « Pentagone », le département de la défense, qui soutient également diverses structures de recherche privée via des consortiums au sein desquels on retrouve nombre d’entreprises pharmaceutiques.
• L’OMS est infiltrée par le « philantro-capitalisme »
Depuis la fin des années 90 la gouvernance de l’organisation mondiale de la santé, qui réemploie les principaux responsables de la santé publique du monde entier, a significativement évolué avec l’intervention de fondations privées devenues ses principaux pourvoyeurs de fonds. En particulier la fondation Bill et Mélinda Gates (BMGf) et la Global Alliance for Vaccine Initiative (GAVI) ont contribué pour respectivement 10 et 9 % de son budget en 2021. Selon le credo de Bill Gates, le recours à la vaccination est devenu une stratégie dominante dans les interventions de l’OMS. Et en 2016 se tenait une réunion d’un groupe de travail visant à « réduire le délai entre l’approbation de vaccin et l’impact vaccinal » pour nombre de pathogènes.
2. La peur du virus est démultipliée et produit un effet de choc
• L’OMS change sa définition de la pandémie et dramatise la situation
Plusieurs fois remaniée depuis 2005, sa définition de la pandémie, considérée comme politique de longue date, a encore évolué de nouveau peu de temps avant l’apparition du Sars-Cov-2. À l’émergence du Covid-19 Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur de l’OMS, fait des déclarations dramatiques à la presse bénéficiant d’une exceptionnelle résonance médiatique. Une pandémie est déclarée sur la base de très faibles nombres d’individus atteints. Les populations seront ensuite matraquées de tels messages catastrophistes, mêlés d’injonctions paradoxales. Ainsi traumatisées elles seront soumises à un crescendo de mesures liberticides.
• Le covid19 circulait tôt
Des analyses d’échantillons (d’eaux usées ou de sérums humains) ont permis de retracer a posteriori la circulation du virus, et d’en retrouver des traces précoces dès 2019 en Amérique du Nord et du Sud comme en Europe alimentant régulièrement l’hypothèse d’une fuite de laboratoire antérieure à l’épisode de Wuhan, lui-même probablement précédé d’autres cas en Chine selon une origine qui aurait été délibérément masquée.
• Un exercice de préparation bien opportun
Peu de temps avant l’émergence du Sars-Cov-2, en octobre 2019, est pratiqué à New York un exercice de simulation de pandémie, « l’Event 201 », sous le patronage de la Johns Hopkins Bloomberg school of public health, du World Economic Forum (WEF) et de la BMGf. Il rassemble des hauts fonctionnaires de santé, des militaires et des représentants des médias (dont des médias sociaux) et de fondations (dont la BMGf). Dans les recommandations finales figure à nouveau le recours soutenu à la vaccination, y compris expérimentale dans des essais cliniques à mener en collaboration avec l’OMS [44], la GAVI 20 et la CEPI (association norvégienne fondée en 2017 à Davos par la BMGf, le Wellcome trust, et le WEF pour accélérer les travaux sur les vaccins, en finançant Moderna par exemple). Or la BMGf finance largement et à la fois tous ces organismes.
• La contamination de Wuhan est dramatisée par Beijing
La Chine a tardé à admettre officiellement l’épidémie, en censurant les médecins ayant communiqué sur leurs diagnostics ; mais elle inverse brutalement sa position en interdisant tout mouvement à Wuhan fin janvier 2020. Selon une stratégie visant au « zéro Covid », les agglomérations chinoises sont fermées et soumises à un contrôle policier répressif. Stratégie qui se poursuivra jusqu’à la reconduite du dirigeant en place fin 2022. Les populations ont interdiction totale de déplacement et certains quartiers sont barricadés militairement. Le recours quotidien aux tests rapides devient systématique. En parallèle, Neil Ferguson de l’Imperial College de Londres (financé par le CEPI, la GAVI et la BMGf) et Simon Cauchemez de l’Institut Pasteur, modélisateurs déjà connus pour leur tendance à l’outrance lors d’épidémies précédentes, et dont les conflits d’intérêts du premier restent à lister intégralement, prédisent sans base probabiliste robuste des morts par millions et appellent aux confinements. Leurs prédictions sont mises en cause dès 2020 puis désavouées, y compris par leurs auteurs fin 2021.
• La posture guerrière se propage et la peur est orchestrée
« Nous sommes en guerre ». Dans un discours anxiogène le président de la République française déclare la guerre a un ennemi invisible. Guerre ensuite largement mise en scène dans les médias, photos ou vidéos d’agences de communication à l’appui, ou au moyen de prises de vue dans les hôpitaux de campagne, dans les services de réanimation, ou encore dans les trains de transit. Et reposant sur une stratégie de communication pilotée par les consultants du cabinet McKinsey, en France comme dans de nombreux pays.
• Le modèle chinois de confinement se répand
Après confirmation de l’épidémie autour du marché de Wuhan, les simulations catastrophiques, et l’emphase autour du « modèle » chinois, c’est l’Italie qui déclenche en Europe les premiers confinements. Suivie rapidement par tous les pays de l’Union et ses voisins, à l’exception notable de la Suède, unique pays d’Europe à maintenir le cap d’une stratégie raisonnable et nuancée jusqu’au terme de l’épidémie. Les individus les plus impactés sont les patients des Ehpad qui ne peuvent quitter leur chambre sous aucun prétexte, ni recevoir leur famille. Les morts seront inhumés sans que la famille du défunt puisse faire ses adieux ; la déshumanisation des obsèques est brutale.
• Des tests rapides détournés à des fins de contrôle de la population ?
Qu’il s’agisse des « tests PCR » comme des tests antigéniques, la sensibilité exacerbée des kits d’analyses l’est d’autant plus que l’on s’écarte des protocoles requis, comme souligné par Kary Banks Mullis, prix Nobel pour l’invention de la méthode PCR, et par des français en capacité d’évaluer leur fiabilité. Le 23 janvier 2020, une méthode de test PCR est publiée moins de 48 heures après sa soumission alors qu’à ce jour le nombre de décès dû au Covid est inférieur à 10 et la séquence du génome du virus n’est pas encore validée. Cet article fait très tôt l’objet d’une revue exhaustive par d’autres scientifiques qui mettent en évidence de nombreuses aberrations méthodologiques et appellent – sans succès – au retrait de cette publication. Cette méthode en provenance de l’hôpital de la Charité de Berlin se répand, alors que l’OMS a déjà fait de la PCR sa méthode de référence. Des tests PCR divers sont pratiqués massivement avec un nombre de cycles de PCR anormalement élevé et une absence de spécificité pour le Sars-Cov-2 – entraînant la disparition de la grippe saisonnière ? – par des laboratoires ainsi rémunérés pour mener des prélèvements très invasifs. Réalisés dans des centres de dépistage – qui composent des foyers de contamination étant donnée leur configuration d’accueil du public – ils contribuent à un surplus d’imagerie guerrière et à l’anxiété de la population. Et à sa résignation.
• Les « vagues » de variants du virus se succèdent, les média surfent
Sans effet des mesures décrites ci-après la circulation virale se poursuit régulièrement. Des « vagues » épidémiques, exclusivement basées sur des « cas PCR », sont systématiquement anticipées par des déclarations d’experts reprises ad libitum par les médias. Sans prendre en compte l’évolution des caractéristiques infectieuses des souches en circulation, pourtant parfaitement décrite par le professeur Jacques Fantini et ses collègues, et en dépit d’une vulgarisation réussie par la presse régionale.
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Les paragraphes suivants :