Lettre à des élu.es du département

Cela concerne le « pass » vaccinal

Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs du Pas-de-Calais,

En ces premiers jours de l’année 2022, après vous avoir présenté mes meilleurs vœux, je tiens à vous expliquer la position d’une personne qui refuse de se faire injecter un vaccin expérimental, mais qui n’est ni « loin de tout », ni  » indifférente », ni une personne  » enkystée dans un délire« …

J’ai été choqué des propos du ministre de la santé la veille du 1er confinement, le 16 mars 2020 : « N’entrez pas en contact avec plus de cinq personnes par jour. Chaque contact évité peut être une vie sauvée ». Ces propos laissaient entrevoir une hécatombe avec des morts à chaque coin de rue…

Mais, ce qui m’a alerté en premier a été cette polémique sur les masques en avril 2020. En cherchant un peu, on comprend vite que seul le matériau des masques FFP2 permet de se protéger du virus. Alors pourquoi nous imposer ces baillons chirurgicaux, partout, même en extérieur, et surtout les imposer aux enfants ? N’est-ce pas une décision « délirante » qui aura de graves conséquences sur notre jeunesse ?

Je passe sur les interdictions « délirantes » de s’aérer sur nos plages et sur les choix des commerces dits  » essentiels ».

Puis sont arrivés les fameux tests PCR au printemps 2020, qui ont permis d’inventer une nouvelle catégorie de malades, les « asymptomatiques » ! Grâce aux tests, nous vivons depuis une série de vagues, de déferlantes, de tsunamis, qui maintiennent les français dans la peur.

Mais sur le plan plus médical, j’ai été très vite interpellé par les interdictions de prescription de molécules qui semblaient avoir une efficacité sur cette nouvelle maladie. La polémique sur l’hydroxychloroquine et son interdiction malgré le scandale du Lancet a été pour moi un signal d’alarme. Il se passait quelque chose d’anormal. N’était-il pas  » délirant » d’interdire à des médecins de prescrire une molécule connue depuis des lustres et qui semblait donner de bons résultats ? Les consignes gouvernementales  » Restez chez vous avec du Doliprane » ont toujours cours aujourd’hui, alors que l’ivermectine, l’azithromycine et les corticoïdes permettent réellement d’éviter d’aller aux urgences !

Mais ces interdictions de prescriptions ont trouvé tout leur sens à l’annonce de l’arrivée de vaccins d’une nouvelle génération.

Je pense connaitre un peu les difficultés et le temps nécessaire pour l’obtention d’une AMM….sauf pour les autorisations prises en cas d’urgence sanitaire. Pour que ces nouveaux vaccins puissent obtenir leur AMM il fallait qu’il n’y ait aucun traitement reconnu efficace…

Pourtant la nouvelle technologie utilisée pour ces vaccins mis au point en un temps record a suscité des débats et des controverses au sein de la communauté scientifique à l’automne 2020. Sur les plateaux télé, certains médecins, professeurs, scientifiques étaient très réticents concernant ces nouveaux vaccins dits à ARN messager ou à ADN. Leurs paroles ont vite été étiquetées  » complotistes » et il est vite devenu interdit de douter de ces vaccins. Or le débat doit faire partie de la science, d’autant plus quand cela touche à la santé de la population mondiale.

Car quand j’ai compris que le mécanisme d’action de ces nouveaux vaccins consistait à donner l’ordre à nos cellules humaines de fabriquer une protéine virale, la fameuse protéine Spike, je n’ai pas du tout été rassuré quant à leur innocuité à court ou à long terme. Là on touche à la destination de nos cellules, au cœur du vivant !

D’après les fabricants, l’ARN messager ne devait être délivré qu’au point d’injection, c’est à dire dans le muscle, et il devait être détruit très rapidement. Or il est maintenant établi que la protéine Spike se retrouve dans les vaisseaux sanguins et dans de nombreux organes tels que le cœur, les poumons, le cerveau et les organes génitaux, créant un nombre considérable d’effets secondaires. Ceci vient d’être admis le 1er décembre devant la commission des Affaires Sociales du Sénat par la directrice de L’ANSM, avec plus de 110 000 déclarations enregistrées à la mi-novembre, contre 45 000 habituellement par an, tous médicaments confondus. Il n’y a qu’à aller voir les témoignages quotidiens sur les groupes créés sur les réseaux sociaux pour comprendre qu’il se passe quelque chose de grave avec ces vaccins. Des cas de maladie de Creutzfeldt-Jakob ont été signalés en direct sur la chaîne C News.

Des jeunes sont morts subitement après les injections…mais personne n’établit officiellement de relation de cause à effet, alors que nous sommes toujours en phase 3 de l’essai clinique ! Avec un médicament lambda, tout décès entraine l’arrêt immédiat de l’essai clinique ! Mais non. Tout va bien. On fonce même sur la vaccination des 5/11 ans, pourtant très rarement malades ! Et chez les femmes enceintes, à qui il est interdit habituellement de prendre tout médicament !!! Où est la balance bénéfice/risque ? A mon avis là oui, on « délire » !

Donc vous avez bien compris que vous n’obtiendrez pas mon accord pour cette injection expérimentale, ni aujourd’hui, ni demain.

Le nombre de personnes injectées n’équivaut pas au recul nécessaire pour étudier les risques de ces injections, sur le plan de l’immunotoxicité, de la cancérogénicité et du risque tératogène notamment. Il faut des années pour cela.

Si dans les premiers jours de janvier vous votiez cette loi sur le pass vaccinal, n’iriez-vous pas à l’encontre de l’article 223-8 du Code Pénal qui stipule qu’il est illégal  » de pratiquer ou de faire pratiquer sur une personne une recherche…ou un essai clinique…sans avoir recueilli le consentement libre et éclairé. » ? N’est-ce pas déjà ce qui se passe avec les injections forcées pour les professions médicales, les salariés des bars et restaurants, les chauffeurs de taxis et ambulanciers, à qui on a mis le couteau sous la gorge ?…on est loin du consentement libre et éclairé.

Je vous demande donc de bien vouloir prendre le recul nécessaire avant de voter. Prendre le recul pour observer ce qui s’est passé depuis deux ans concernant les libertés des français. Prendre du recul pour réaliser vers quelle société vous nous conduisez, une société de surveillance, de discrimination et d’intolérance.

Et prenez surtout vos responsabilités en allant voter en votre âme et conscience, sans pouvoir dire « on ne savait pas ».

Chaque vote comptera pour défendre notre liberté.

Alors je fais le vœu de voir ce « délire » s’arrêter en 2022.

Je vous souhaite des débats respectueux et un vote de bon sens, et vous propose de méditer sur cette citation de Rabelais :  » Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ».

Je sais que certains d’entre vous se sont déjà positionnés contre cette loi et je les en remercie.

Veuillez recevoir, Messieurs les Présidents des Assemblées, Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs, l’expression de ma sincère considération.

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Pour retrouvez l’adresse de votre député

Vous pouvez retrouver facilement l’adresse de votre député sur le site https://www.nosdeputes.fr/deputes

Modèle de lettre à adresser à votre député

Mettant à profit la trêve des confiseurs et prenant de court tous les observateurs, le gouvernement a décidé d’adopter un projet de loi transformant le passe sanitaire en passe vaccinal dans les tout prochains jours.

De même qu’il avait fait adopter le passe sanitaire dans la torpeur de l’été, il réédite la même manœuvre en essayant de faire adopter un projet liberticide au moment même où les Français seront occupés à fêter Noël puis le jour de l’An.

Ce projet de passe vaccinal revient sur les engagements les plus solennels tenus par les plus hautes autorités du pays depuis de nombreux mois. Il retire à la parole publique ce qui lui restait de crédibilité.

Comme des millions de concitoyens, j’estime quant à moi que l’adoption de ce passe vaccinal serait une forfaiture en termes de libertés publiques.

Je vous demande donc résolument de vous opposer par tous les moyens à son adoption législative, qui est d’autant plus injustifiée que la Covid19 semble se transformer en une simple grippe, le virus omicron se révélant beaucoup moins dangereux que ses prédécesseurs.

Je vous demande donc de voter contre ce projet.

Je vous demande également de lancer au plus vite la procédure de motion de censure du gouvernement.

Si par malheur le projet devait être adopté par les 2 assemblées, et la censure rejetée, je vous demande de vous rassembler avec au moins 59 autres parlementaires pour déférer ce projet de loi au Conseil constitutionnel afin qu’il en prononce l’inconstitutionnalité.

Si ce texte devait malgré tout être voté et promulgué, et si je constatais que vous aviez participé à son adoption, je ferais alors tout mon possible pour que vous perdiez votre mandat électif lors des élections législatives de juin prochain.

En espérant que vous comprenez à quel point ce projet de loi risquerait de marquer l’avènement d’une société de surveillance de type orwellien, je vous prie, Monsieur/Madame le/la député/e, d’agréer l’expression de mes sentiments distingués.