Une dernière de Gavroche l’alsaco

Une dernière de Pascal ; mais pas la dernière !

 

Donc l’alsaco veut arrêter : un scandale !

Voilà son « dernier »  papier. Il a tort de démissionner.

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Pour la toute première fois dans l’histoire humaine,

En période de paix on met le citoyen en prison et un virus désigné d’office en scène

En ouvrant un camp de concentration planétaire, malgré la sinistre mémoire

Il faut vraiment être benêt pour s’imaginer que c’est pour du virus chanter la gloire.

Plus personne dans les rues sillonnées par des émules de la nouvelle gestapo

Et déjà des exactions qui, de l’honnête homme, hérissent la peau

De petits couillons sans cervelle qui invectivent en maîtres du monde

Par la vertu d’un quelconque uniforme et s’autorisent des ratonnades immondes.

Avec l’aval des VIP de la future dictature qui ne porte pas encore son nom

et voit d’un bon oeil, le peuple sur le peuple faire la baston.

Ce peuple qui pour l’instant se laisse manipuler outrageusement pour cause d’ignorance

Par des salopards à qui, par le vote, il a fait allégeance.

Il a toujours été écrit qu’un pays a le gouvernement qu’il mérite

Cela se confirme et emmène nos vies vers une partition bien tragique

Faut-il vraiment se comporter comme des imbéciles taclant un virus qui n’en peut tant

Quand dans l’ombre les forces du mal avancent leurs pions malveillants

Qui peut encore croire que tout ce cirque hypocrite se joue pour notre santé

Quand, par mille contradictions on voit les grosses ficelles dans les faits planqués

Est-il nécessaire d’être extralucide ou voyant

Pour comprendre que ce qui se trame fait partie d’un monstrueux plan ?

Visant à mettre sous le boisseau toute velléité de liberté

Par de génocidaires racailles et leurs marionnettes politiques affiliées

IL n’est pas encore trop tard pour agir avec courage et détermination

Pour éliminer cette pieuvre qui nous enserre et veut notre reddition.

Certains de nos grands-parents sont morts pour que nous ayons un avenir meilleur,

Laisserons-nous sans bouger, sur nos enfants s’abattre le totalitaire et numérique malheur ?

Que Gates, archange de la mort et quelques autres grosses fortunes prévoient pour nous limiter

Par le biais d’un vaccin aux multiples et horribles usages qu’ils veulent sans permission nous inoculer.

Le Titanic a quitté le quai et vogue vers son incertain destin

A bord c’est encore l’insouciance qui va bon train.

Le peuple, dans la dernière soute, croit en son étoile américaine

Il en est de même aujourd’hui où la majorité ne discerne l’iceberg qu’avec grande peine

Ne nous drapons pas dans d’improbables certitudes

A voir la réaction de la masse il sera dur d’éviter les futures mondialistes servitudes

Combien de temps nous reste-t-il pour sauver notre désir de liberté ?

Quand les masques tomberont-ils en nous dévoilant l’iceberg dans sa tragique réalité ?

Il ne suffit plus de serrer les paupières et espérer se réveiller dans le temps d’avant

Ou regretter de n’avoir pas cru les Cassandres noircissant l’avenir à bon escient.

Nous sommes au septième jour de Jéricho,

Le vernis de la civilisation, risque, comme les murs de la ville, de tomber en morceaux.

Nous sauver tous ne se fera que par une extrême rébellion,

Et, depuis l’aube de notre histoire commune elle n’a qu’un nom, révolution !

Sinon il faudra pour chacun se contenter d’une vie terrestre rabougrie

Ou alors, créer ici et là, des îlots de survie.

Que chacun en son âme et conscience

Accepte de lutter ou ce sera la fin de notre béate et crédule survivance.

Et nul besoin sera de descendre aux bibliques enfers

De sataniques émissaires, sur la Terre, sont en train d’établir le royaume de Lucifer.

Gavroche l’Alsaco

Qui termine ici ses mises en garde, et souhaite

1 se tromper sur le futur qu’il a concocté dans « ses soupes épaisses »

2 à tous, et quel que soit ce futur, de pouvoir disposer d’une vie d’homme libre.

 

Pour en savoir beaucoup plus sur ce dernier billet, lisez les trois pages de cet Alsaco remarquable :

virusdernier

 

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Pandémie

Le terme « pandémie » peut s’écrire de différentes façons :

pant Démi ; pant démi ; pants dès mi ; pant d’hémi : pant des mi ; Pan d’ Emmy ; pans des mi ; pant dès mi ; pents d’ Emi ; pans Des mi ; pant des mi ; pendent émi ; pant démi ; pant d’ Emi ; pan démi ; pant des mi ; pan d’ émi ; pant des mi ; pende d’ émi ; pant démy ; pant des mi ; pant d’ émi ; pande des mi ; pant d’ émi ; pende D’ hémi ; pant des mi ; pende des mi ; pan d’ hémi ; pan des mi ; pant d’ émi ; pan d’ Hemi ; pents démi ; paon d’ hémi ; pan des min ; pandémie

C’est ce qu’a fait Pascal

La pandémie gagne, encore, du terrain… Quel bagne ! En attendant que la pandémie stagne… Faut-il remercier ce gouvernement pimpant ? Démissionnez, clopin-clopant, démiurges que vous vous croyez ! Et le plus vite possible, bande de petits sacripants, dès mi-avril ! Mais parlons donc d’autre chose que de ce virus galopant d’hémisphère en hémisphère…

Tout en m’occupant des midinettes ( 80 ans ou plus ) du quartier, je pense à la flûte de Pan d’ Emmy, la petite fille d’une copine. En coupant des miches de pain, je protège mes tympans des miaulements de ces fins félins félons rampant dès midi entre les serpents d’ Emilien. Bande de petits chenapans ! Des minets ( Rats, lisez ! ) se tapant des minettes qui dépendent éminemment de la pâtée qu’elles vont prendre… Au fait, je dois aller acheter du pétrole lampant déminéralisé, produit dopant d’ Emirs lointains qui voguent en sampan démilitarisé ; ils utilisent aussi ce pétrole ( Qu’est-ce qu’ils sont raffinés, ces Emirs ! ) comme très efficace décapant des minarets. C’est également avec ce précieux liquide que s’éclairait la Montespan d’ éminence royale, grimpant des milliers de fois dans le lit de Louis XIV. Que le grand cric me pende d’ émietter ainsi l’intimité d’un souverain. Je trouve ce machisme royal préoccupant : démythifier un grand personnage me plaît beaucoup ! Car Stéphane Bern est crispant : des milieux pauvres, il ne parle jamais ! Il marche sur un velours antidérapant d’ émissaire de la noblesse, il en a tous les défauts. Mon humble avis il faut que je répande, des micros il faut que je l’éloigne, le Stéphane ! Je pourrais l’ obliger, en le frappant, d’ émigrer vers une vraie royauté. Eh oui, je vilipende ! D’ hémiplégie du cerveau, je souffre. Je me vois enveloppant des ministres dans du papier toilette, jusqu’à temps qu’on me suspende des missions dont je m’assigne, parmi lesquelles celle d’utiliser le bon vieux trépan d’ hémicycle en amphithéâtre afin d’ébranler par surprise tout un pan des mielleux qui crient nous représenter. Je m’ imagine déjà utopiquement participant d’ émissions radiophoniques, donnant gracieusement des précisions sur l’ empan d’ Hemingway ou sur les arpents déminés d’ Afghanistan.

Une petite tentative poétique pour finir ? Même si ça manque de modestie ? Faire la roue comme un paon, d’ hémistiche en rime riche, Et fier comme Artapan des miséreux pastiches…

Vous avez remarqué que je n’ai pas du tout parlé de pandémie ? En espérant vous avoir changé les idées pendant quelques instants…