La vérité confinée

Une intervention de Gérard Guillaume, médecin rhumatologue

Trouvé sur face de bouc, avec –EVIDEMMENT- le commentaire du censeur face de bouckien : « consultez le centre d’information sur le covid-19 pour des ressources sur les vaccins » !

 « Il y a une manipulation des chiffres, il y a une infantilisation des populations, il y a une volonté de leur faire peur, il y a une volonté de les manipuler. Ça, c’est clair, c’est net, et ça se dénonce. »

Le docteur Gérard Guillaume se livre à une analyse objective et critique de la gestion de la crise depuis son commencement. Membre d’un collectif de médecins et de chercheurs qui préfèrent soigner et guérir plutôt qu’obéir aux recommandations gouvernementales, il évoque les traitements efficaces et connus, utilisés par des milliers de médecins pour traiter les patients COVID. Il aborde également la fraude pour la mise sur le marché conditionnelle des injections expérimentales, ainsi que la fraude majeure sur les chiffres relatifs aux décès attribués au COVID et leur manipulation par les instances politiques et sanitaires.

« Une chose scandaleuse : on a bafoué l’éthique médicale en empêchant les médecins de prendre en charge les patients. En renvoyant les gens chez eux avec du Doliprane. On leur a dit d’attendre que ça se passe : si ça va bien, tant mieux, mais si ça va pas, ils vont à l’hôpital, voire en réanimation. Or, il y a des traitements. Et on les connaît. »

« À Taïwan, 23 millions d’habitants soit le tiers de la France. À la fin de la première partie de l’épidémie : 7 morts. À la fin de l’été, 8 morts. Comment une telle différence est-elle possible ? On a tout mené de travers. On a eu tout faux depuis le début. »

« Un institut de Sidney a sorti une étude. Ils ont analysé la prise en charge de l’épidémie par 98 pays. La France arrive en 73ème position dans la qualité de la prise en charge. Une autre étude, par un institut européen, a analysé 53 pays. La France arrive à la 47ème place. Il y a quelques années on était quand même, soit disant, la meilleure médecine du monde. Aujourd’hui, nous sommes en voie de sous-développement, on est dépassé par des pays d’Afrique. »

« Il y a des traitements. On les connaît. Dans notre groupe, Coordination Santé Libre (~30.000 médecins), des médecins les utilisent. Nous sommes plusieurs milliers à prendre en charge les patients. On sait donc qu’il existe des traitements. Ils ont été validés. »

« Cela a commencé par toute la polémique avec Didier Raoult et la chloroquine. Je rappelle que l’Hydroxychloroquine a été utilisée sur le SARS COV-1 en 2002-2003, et on a montré que c’était intéressant. Je rends hommage à Didier Raoult qui s’est comporté comme un vrai médecin.
On sait que lorsqu’on donne des compléments comme la Vitamine D, la quercétine, le glutathion, on prévient les formes sévères et on empêche les hospitalisations. »

« Ensuite, depuis un an, on parle de l’Ivermectine. C’est un antiparasitaire, médicament classé « essentiel » par l’OMS, c’est un médicament majeur. Des études ont été menées partout dans le monde, elles montrent que l’Ivermectine peut avoir un rôle profylactique et curatif. »

« Alors, pourquoi on en est là ? Car c’est cela la vraie question. Le vrai scandale, il est là. On a tout misé sur la vaccination. Depuis le début. Et cette vaccination n’a qu’une AMM conditionnelle. Il y a trois raisons qui sont avancées pour permettre à ces injections de bénéficier de cette AMM conditionnelle :
1 – l’état d’urgence. Discutable.
2 – la mortalité de la maladie. Très discutable. Elle tue des gens très âgés, des gens avec une espérance de vie très limitée, et des gens avec des problèmes de santé.
3 – ‘il n’y a pas de traitements’. C’est la raison la plus importante, comme il n’y a pas de traitement, cela justifie l’AMM conditionnelle des vaccins. Si on avait dit qu’il y avait des traitements (l’Hydroxychloroquine, l’Azithromycine, les antibiotiques, la Doxycycline, la Clarithromycine, l’Ivermectine, tous ces traitements…), l’AMM conditionnelle serait tombée. À ce moment là, les fabricants de vaccins seraient obligés de mener à terme leur évaluation. »

« Je rappelle qu’on est toujours dans la phase 3 de l’évaluation… Elle se terminera pour le premier vaccin en décembre 2022, et pour les autres elle se terminera en décembre 2023. Cela veut dire que tous les gens qui sont vaccinés aujourd’hui sont des cobayes. »

« On est là dans un vrai scandale : on décrète qu’il n’y a pas de médicament, uniquement pour favoriser l’AMM conditionnelle des vaccins. Or, si on avait mis toute la France sous ce type de traitements, je peux vous garantir qu’on aurait tous mené notre vie habituelle (terrasses, restaurants…).

« Plus scandaleux encore. Ils ont sorti le Remdesivir, responsable de variants et d’insuffisances rénales, pour leur permettre de dire qu’ils avaient mis sur le marché des médicaments, qui non seulement ne marchent pas mais sont aussi dangereux. Cela justifie leur politique de vaccination, dangereuse, car on ne sait pas où l’on va à long terme. »

« Premièrement, les médecins sont des gens qui sont formatés. Conditionnés. Ils ont suivi des études qui les placent des dans systèmes, et rares sont ceux qui vont voir à côté. Ils sont totalement dépendants de la parole officielle, qu’elle soit médicale ou politique.
Deuxièmement, au départ, on a interdit aux médecins de traiter. Les pharmacies avaient le droit de dénoncer les médecins qui prescrivaient des traitements. La même chose continue aujourd’hui avec l’Ivermectine.
Troisièmement, le Conseil de l’ordre attaque les médecins qui osent traiter les patients. Un médecin qui traite, quel scandale ! »

« Il faut être courageux. Il faut, d’abord, respecter les principes d’Hippocrate qui nous demandent de prendre en charge les patients. De les aider. »

« Quand quelqu’un va en réanimation, quelle que soit la maladie, infarctus ou AVC, s’il est positif il meurt du COVID.
On n’a jamais pu savoir quelle est la part relative des décédés du COVID et des décédés pour une autre raison AVEC le COVID.
En octobre 2020, on était autour de 80.000 décès COVID enregistrés. On a fait une enquête et on a tout décortiqué : il y avait à peine 42.000 vrais décédés DU COVID. »

« Ensuite, une chose bizarre : quand on enregistre les morts de la grippe, on le fait par année. Tant de morts en 2019, tant de morts en 2020… et on compare. Mais quand on comptabilise les ‘morts du COVID’, ça ne s’arrête pas. Si on faisait avec la grippe ce que l’on fait fait le COVID, on en serait à des centaines de milliers de morts ! On aurait normalement dû arrêter à la fin de l’année le comptage des décès COVID pour recommencer à zéro, comme on le fait pour tous les comptages épidémiques. »

« Il y a une manipulation des chiffres, il y a une infantilisation de la population, il y a une volonté de leur faire peur, il y a une volonté de les manipuler. Ça, c’est clair, c’est net, et ça se dénonce. Qu’est-ce qu’il y a derrière tout ça ?  »

« Dès qu’on ne véhicule pas la doxa officielle, on est ‘complotiste’. On est dans une ‘démocrature’ et nos libertés individuelles s’en vont les unes après les autres. On est infantilisé et si on avait fait ce qu’il fallait, on n’en serait pas là. Je ne ressors pas de tout ça avec une grande estime des gens qui nous dirigent. »

Quelques autres témoignages de soignants :

https://www.facebook.com/105546934474712/posts/4277949455832

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=420350772994325&i

https://www.facebook.com/105546934474712/posts/4202799230014

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=416661316696604&id

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=413239730372096&id

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=418350356527700&id

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=412431213786281&id

https://www.facebook.com/105546934474712/posts/41123808057226

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=407000850995984&id

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=405871184442284&id

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=405184937844242&id

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=405218737840862&id

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=404935647869171&id=