Pollution dans l’air … et électrique

Trouvé sur rtl !

Pourquoi les émissions de gaz à effet de serre continuent de baisser en France

C’est une nouvelle réjouissante, les émissions de gaz à effet de serre continuent de baisser en France, -4,6% sur les neuf premiers mois de l’année.

Les émissions de gaz à effet de serre continuent de baisser en France, -4,6% sur les neuf premiers mois de l’année. Une baisse en partie due à un changement de comportement des Français poussé par l’inflation et le prix de l’énergie, mais qui est réelle. Nous avons moins consommé d’énergie pour nous chauffer et pour nous éclairer.  

Il y a aussi une raison conjoncturelle, l’hiver dernier beaucoup de centrales étaient à l’arrêt pour réparer des pannes, près de la moitié. Il avait donc fallu utiliser beaucoup de gaz, et même du charbon. Les centrales ont été réparées et remises en route et le nucléaire émet beaucoup moins de carbone.   

Ces émissions de gaz à effet de serre, elles baissent surtout dans trois secteurs. L’énergie d’abord, les renouvelables ont progressé aussi d’ailleurs la semaine dernière grâce au nucléaire revigoré et au vent, au secteur éolien. La France a battu son record d’exportation d’électricité et donc en plus décarbonée. 

 Des efforts dans l’industrie, les transports à la traîne

Le secteur du bâtiment aussi a réduit ses émissions de gaz, grâce à la baisse de la consommation de chauffage, et enfin, les industries ont fait des efforts réels, comme la métallurgie. Il y a en effet la nécessité de faire des économies, mais aussi des changements structurels. Les usines s’équipent de biomasse, de sources d’énergie moins polluantes. C’est vraiment encourageant. 

Il y a malgré tout un mauvais élève : les transports. Dans ce secteur, la baisse est deux fois moins forte : voitures, poids lourd et surtout l’aérien. Les émissions progressent même de 20% pour l’avion donc c’est là où il y a une marge énorme de progrès. 

Ce bon chiffre pour 2023 montre que la France est sur la bonne trajectoire pour arriver en 2050 à zéro émission. Il faudrait réduire les émissions de 5% par an, on y est presque. Mais il y a eu cette raison conjoncturelle avec la reprise du nucléaire, il va falloir trouver d’autres leviers et c’est vraiment sur les transports qu’il faut porter nos efforts, donc tous changer notre façon de nous déplacer. 

https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/pollution-pourquoi-les-emissions-de-gaz-a-effet-de-serre-continuent-de-baisser-en-france-7900335681

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Note de facteur à l’article ci-dessus :

– premier extrait : « le nucléaire émet beaucoup moins de carbone« 

         Le martelage permanent par les médias de ce mensonge ne le transformera pas en vérité…

– deuxième extrait  : « Nous avons moins consommé d’énergie pour nous chauffer et pour nous éclairer. »

         moins d’énergie consommée simplement à cause d’un temps plus clément…

– troisième extrait : « la France est sur la bonne trajectoire pour arriver en 2050 à zéro émission« 

         en annonçant zéro émission dans 27 ans, l’auteur nous prend vraiment pour des imbéciles !…

bref, un papier juste transmis pour bien mesurer comment le peuple va continuer d’être harcelé par la propagande des nucléocrates.

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La pollution de la voiture électrique : The Guardian tente de tuer le débat avec une étude

 Les émissions de CO2 produites pendant le cycle de vie entier d’une voiture électrique seraient trois fois moins élevées que celles d’une voiture thermique. Et ce malgré la « dette carbone » 60 % plus élevée que récupèrent les exemplaires électriques au moment de leur production.

Que ce soit en termes d’assemblage de la caisse ou de la fabrication de sa batterie, la voiture électrique arrive sur les routes avec une empreinte carbone élevée. Celle-ci surpasse celle des voitures thermiques, de 60 % en général, mais parfois du double, rapporte une étude The Guardian publiée le 23 décembre dernier, destinée à casser les idées reçues sur la voiture électrique.

Cette part des émissions de CO2 pour la voiture électrique issue de sa production est plus communément appelée « dette carbone ». Un handicap de départ face à la voiture thermique, réglée plus tard dans son cycle de vie. Il s’explique par la quantité d’énergie nécessaire sur plusieurs composants dont les moteurs et les batteries, où des fours sont nécessaires notamment pour chauffer les électrodes ainsi que charger et décharger les batteries pour les préparer.

Pour que la voiture électrique limite sa pollution, elle a donc besoin de rouler. Et selon l’étude The Guardian, dans le meilleur des cas, le bilan carbone d’une voiture électrique finit par être trois fois moins élevé que celui d’une voiture thermique. En rouge sur le graphique, la part d’émissions de CO2 due à l’utilisation de la voiture se présente comme anecdotique « dans le meilleur des cas », et plus propre à raison de 100 grammes de moins par kilomètre « dans le pire des cas ».

Pour continuer à se rapprocher de la réalité, l’étude distingue donc d’un côté le meilleur cas possible pour une voiture électrique, à savoir l’utilisation d’une énergie décarbonée (renouvelable ou nucléaire), face à la pire situation possible, avec une électricité issue de centrales à charbon comme en Allemagne ou aux États-Unis. Entre les deux, la différence est particulièrement élevée… Mais le bilan reste toujours meilleur que celui d’une voiture équipée d’un moteur à combustion.

« Même si vous avez un réseau très sale, les véhicules électriques sont toujours meilleurs pour l’environnement. Cela continuera à mesure que le réseau deviendra de plus en plus propre », commentait l’étude The Guardian Colin Walker, responsable des transports du think tank Energy and Climate Intelligence Unit. Logiquement, le constat est de plus en plus vrai à mesure que l’on enchaîne les kilomètres : la seule solution pour rembourser la dette originale, due à la production de la voiture et de la batterie.

De 2 à 6 ans pour rembourser la « dette carbone » d’une voiture électrique

« Si vous regardez les données, cette dette carbone est remboursée après environ deux ans de conduite », évalue Eoin Devane, conseiller climatique du gouvernement britannique. Un remboursement qui s’étend sur les marchés où l’électricité est issue des centrales à charbon. L’étude The Guardian estime alors à 70 000 kilomètres, soit plus ou moins 6 ans sur la route, la part de roulage nécessaire pour que la voiture soit plus propre que son équivalent thermique.

Ainsi, selon les pays, le bilan carbone d’une voiture électrique change beaucoup. La France, avec sa part du nucléaire, est particulièrement bien placée juste après la Suède selon le graphique du journal indépendant britannique. Nos voisins allemands ne proposent pas la même électricité, tout comme la Pologne, que The Guardian classe parmi les pires en Europe. De la Suède à la Pologne, le bilan carbone du cycle de vie complet de la voiture électrique varie alors du simple au double.

Le débat se poursuivra évidemment sur l’utilisation des terres rares, du lithium, et tout ce dont il y a d’essentiel dans les composants des batteries. Un point qu’avait signalé Gilles Pratt, le responsable de la section recherche chez Toyota en février dernier. « Il y a une crise qui va arriver », prévenait-il. Une crise qui toucherait les voitures, mais aussi tout l’écosystème, à commencer par les bornes de recharge.

https://www.01net.com/actualites/la-pollution-de-la-voiture-electrique-the-guardian-tente-de-tuer-le-debat-avec-une-etude.html

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Note de facteur à l’article ci-dessus :

extrait : « La France, avec sa part du nucléaire, est particulièrement bien placée juste après la Suède selon le graphique du journal indépendant britannique. Nos voisins allemands ne proposent pas la même électricité, tout comme la Pologne, que The Guardian classe parmi les pires en Europe. »

Les médias propagandistes sous perfusion atomique distillent un poison dans la tête des Peuples pour pouvoir, en particulier, discréditer l’Allemagne et vendre l’atome mortifère : pourtant, la réalité de la production d’électricité renouvelable allemande est stupéfiante :

« Le mix électrique au 1er semestre 2023 :

    La production d’électricité à partir de sources d’énergie conventionnelles diminue de 12,2%.
La part de l’électricité produite à partir d’énergies renouvelables augmente à 57,7
L’éolien, principale source d’énergie avec 29,8%, devant le charbon avec 27,2%.
Le photovoltaïque est la troisième source d’énergie avec 13,4%.
    plus d’électricité d’origine nucléaire depuis mi-avril 2023″

Source : https://strom-report.com/strom/