Se vacciner ou pas ?

Les raisons pour lesquelles nous ne devons pas nous laisser intimider par ceux qui nous reprochent de ne pas être vaccinés

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-raisons-pour-lesquelles-nous-235703

Extraits

Nous, non vaccinés, sommes dépeints comme des complotistes délirants qui croient que la terre est plate, comme des libertaires égoïstes, ou comme des ignorants antisciences. Nous sommes mis au ban de la société et beaucoup suggèrent déjà de nous isoler. Il est important que nous trouvions des parades face à cet opprobre croissant, tout en contrôlant nos propres réactions émotionnelles afin de ne pas alimenter la division sociale. Dans ce post, je rappellerai les raisons pour lesquelles je ne me fais pas vacciner, avec une mise à jour à la lumière des récents acquis scientifiques. Je montrerai que la science n’est pas du côté de ceux qui prônent la vaccination de tous, et que ceux qui le prétendent devraient lire la littérature sur les traitements précoces et se documenter sur la corruption des institutions médicales.

Introduction

N’étant toujours pas vacciné contre la COVID, pour les raisons déjà expliquées dans mes posts précédents, et n’ayant toujours pas l’intention de l’être sauf si des vaccins traditionnels (à virus atténué) et ayant terminé toutes leur phases expérimentales étaient disponibles, par exemple le vaccin Valneva, je rencontre de plus en plus de messages désobligeants ou insultants, parfois de mes amis proches. Nous, non vaccinés, sommes tous dans cette situation. Nous sommes dépeints comme des complotistes délirants qui croient que la terre est plate, comme des libertaires égoïstes, ou comme des ignorants antisciences. Nous sommes mis au ban de la société et beaucoup suggèrent déjà de nous isoler. Même les intellectuels qui nous inspirent, comme Noam Chomsky, suggèrent cette « solution ». Il est important que nous trouvions des parades face à cette opprobre croissante, tout en contrôlant nos propres réactions émotionnelles afin de ne pas alimenter la division sociale. Il est important également que nous ne nous laissions pas intimider, nous serrions les coudes, et ne fassions pas l’erreur de nous faire vacciner sous la pression. Dans ce post, je rappellerai les raisons pour lesquelles je ne me fais pas vacciner, avec une mise à jour à la lumière des récents acquis scientifiques. La science n’est pas du côté de ceux qui prônent la vaccination de tous, car ils lui préfèrent le scientisme. Cela, nous ne devons jamais cesser de le rappeler, en faisant le travail que les journalistes ne savent plus faire. Je terminerai en m’adressant à nos détracteurs, en leur lançant un appel pour un débat qui se base sur les faits et la recherche médicale, et en les incitant à explorer les résultats des recherches en sciences sociales portant sur l’institution médicale.

1. La protéine spike est toxique

2. Les vaccins pourraient causer des maladies à prion

3. Maladies auto-immunes

4. Les vaccins pourraient faciliter l’infection et aggraver la COVID-19 dans certaines circonstances

5. Le code génétique de la protéine spike, contenu dans les vaccins, pourrait s’intégrer au génome humain

6. Les systèmes de pharmacovigilance enregistrent de nombreux cas de décès et effets secondaires suites aux vaccinations

7. Les asymptomatiques et les vaccinés transmettent peu le virus mais cela pourrait changer avec le variant delta

8. L’immunité naturelle est plus robuste et plus durable

9. La COVID-19 se traite (traitements précoces ambulatoires)

La COVID peut se traiter avec certains antibiotiques, à condition que le traitement soit administré de manière précoce, avant hospitalisation et dès déclaration des symptômes, c’est à dire en médecine ambulatoire. Ainsi l’azythomycine, combinée avec d’autres molécules, réduirait pratiquement à zéro le risque de mort et d’hospitalisation, et diviserait par 5 les risques de COVID-19 long. Les traitements à base d’azythromycine ont été employés avec succès dès avril 2020 en France. Cette efficacité des antibiotiques s’expliquerait par le rôle joué par des bactéries dans la multiplication du virus et dans le développement d’infections pulmonaires.

L’emploi massif d’antibiotiques a l’inconvénient de sélectionner des germes résistants. Mais d’autres approches thérapeutiques peuvent être envisagées, et il en existe beaucoup. La COVID peut notamment être traitée par l’ivermectine. Cette molécule, souvent associée à l’antibiotique doxycycline, a déjà été utilisée à grande échelle et avec succès au Pérou et au Mexique, et dans certains états en Inde.

Enfin, de multiples autres molécules ont été testées et se montrent prometteuses pour soigner les patients COVID-19, à condition d’être également administrées de manière précoce, dès déclaration des symptômes. Elles réduiraient jusqu’à 90% les risques d’hospitalisation et de décès. Ainsi en est-il de la Proxalutamide, la fluvoxamide, la curcumine, la povidone, la budesonide, et la vitamine D. D’autres études peuvent être consultées à partir de ce site. On trouve parmi ces études de nombreux essais randomisés, ainsi que des méta-analyses, qui représentent les plus hauts niveaux de preuve possible en médecine. Ces études donnent donc un signal très clair justifiant une attention des autorités médicales vis à vis des traitements ambulatoires précoces. En outre, de nombreux médecins ont mis en œuvre ces traitements précoces et mesuré leurs effets sur des milliers de patients, avec d’excellent résultats, par exemple en Afrique du Sud, aux USA, en France, ou en Inde. Ils combinent les molécules de diverses manières et en les adaptant au profil de leurs patients et aux phases de la maladie, souvent guidés par des protocoles dont certains sont publiés dans des revues scientifiques. Les traitements précoces sont également recommandés au Japon et ont fait l’objet de débats aux Sénats Américain et Français.

Malheureusement, malgré des résultats encourageant annoncés en France dès Février 2020 et publiés dès juillet 2020, et la confirmation rapide de ces résultats par d’autres études, les gouvernements des pays européens, des USA, et du Canada ne se sont jamais intéressés à ces traitements. Lorsque la question des traitements précoces est évoquée par les autorités médicales, celles-ci évoquent la mise au point de nouveaux remèdes et ignorent les solutions qui se basent sur des molécules anciennes, qui ne sont pas protégées par des copyright et donc pas source de profits pour les laboratoires pharmaceutiques. Étant les seules à disposer de moyens leur permettant de mettre en œuvre de gros essais employant des méthodes sophistiquées, ces industries exercent un contrôle sur ce qui est accepté ou pas en tant que connaissance scientifique, voire appuient des études frauduleuses pour discréditer les traitements concurrents. On observe également, à l’encontre de ces médicaments, des campagnes de discrédit dont le ridicule ne fait que confirmer la malveillance de l’industrie pharmaceutique et la naïveté ou corruption de ceux qui défendent son discours. Ainsi, on tente de faire passer l’ivermectine pour un médicament à usage essentiellement vétérinaire, alors qu’elle est un médicament essentiel pour la santé humaine, ou bien on l’accuse de causer la stérilité chez l’homme, sur la base d’une étude portant sur des patients ayant reçu ce médicament pendant 11 mois (dans le cas de la COVID, le traitement ne dure que quelques jours ou semaines). Malgré cet acharnement insensé, les traitements précoces continuent d’être utilisés avec succès dans de nombreux pays.

Une inflexion pourrait se produire cependant. Les traitements précoces sont facilement applicables si la maladie n’évolue pas trop vite. Or il semble que le variant delta progresse beaucoup plus vite, ne laissant qu’une fenêtre de 3 jours pour intervenir. Cela a été observé aux États-Unis, mais ne semble toutefois pas être le cas en France. Si cette plus grande virulence se confirme, les traitements précoces seront face à de nouveaux défis et cela pourrait redonner un avantage à la vaccination.

Conclusion

L’objectif de cet article n’est pas de dire s’il faut ou pas se faire vacciner. Il est simplement de fournir des éléments d’information permettant à chacun de faire son choix. J’invite donc le lecteur à poursuivre sa réflexion en continuant de se documenter, en privilégiant les sources primaires (publications scientifiques, médecins et chercheurs actifs sur les réseaux sociaux et se trouvant en première ligne) pour éviter de se faire piéger par les fausses nouvelles et la médiocrité croissante des médias classiques. Mais à ce stade, ce qui ressort des sources revues dans cet article, c’est qu’il existe une multitude de raisons de ne pas se faire vacciner contre la COVID-19. La principale est l’existence de traitements précoces, dont le déni fausse le calcul de la balance coût-bénéfice de la vaccination. Tous les commentaires sur l’avantage de la vaccination partent du postulat qu’il n’y a pas d’alternative, et cela constitue sans doute le plus grand mensonge de cette crise, révélé par des dizaines d’études scientifiques. Oui, la vaccination réduit les risques d’infection et d’aggravation de la maladie, au moins dans le court terme. Cela, nous ne pouvons le nier. Mais non, ce résultat ne justifie pas de se faire vacciner, sauf si on est très âgé ou présente des comorbidités, parce que des traitements existent, et parce que l’immunité naturelle, qui pourrait être acquise sans risques significatifs par une grande partie de la population dès lors que des traitements sont disponibles, est plus efficace que l’immunité induite par le vaccin. La situation, toutefois, pourrait changer. Si les prochains variants devenaient plus virulents, comme cela pourrait être le cas pour le delta, la fenêtre de temps disponible pour accéder aux traitements précoces pourrait se réduire, ce qui ferait bouger le curseur vers un plus grand intérêt pour les vaccins.

Je persiste donc dans ma décision de ne pas me faire vacciner, d’autant plus que tous les vaccins proposés en France (mon pays de citoyenneté) ou au Québec (où je vis actuellement) sont des vaccins à ARN ou adénovirus. Je refuse de me faire injecter le code génétique permettant de fabriquer la protéine spike, car il s’agit d’un agent toxique, l’agent même qui explique la toxicité du virus. Je refuserais également de me faire injecter la spike elle même, comme ce serait le cas avec un vaccin en préparation chez Sanofi. Si je suis contaminé par SARS-CoV-2, il y a de fortes chances que le virus soit arrêté par mes défenses immunitaires innées au niveau de mes muqueuses. Pourquoi alors aider la protéine spike à passer cette première barrière, en l’injectant directement dans mon corps, où elle passera facilement dans mon sang ? D’autant plus que les gens de ma tranche d’âge et en bonne santé (j’ai 54 ans) ne meurent pas de la COVID, et évitent généralement le COVID long, s’ils sont traités.

Je serais toutefois prêt à accepter les vaccins traditionnels, à virus atténué, tels le vaccin chinois Sinopharm ou le vaccins français Valneva, en préparation. Je garderais toutefois encore des hésitations car l’industrie pharmaceutique et les autorités de santé se sont jetées un tel discrédit qu’il me sera désormais impossible de prendre une décision médicale, quelle qu’elle soit, sans m’auto-informer au préalable. Le fait que la liste complète des ingrédients des vaccins ne soit pas rendue publique, car ceux-ci sont protégés par le secret industriel, n’aide pas non plus à ma confiance. Néanmoins, si j’avais 80 ans et des comorbidités, alors peut être je me ferais vacciner, y compris avec des vaccins d’ingénierie génétique. Mais je resterais très hésitant si j’avais accès aux traitements précoces. Je prendrais cette décision comme s’il s’agissait de jouer à la roulette Russe. J’hésiterais entre deux menaces dont il est impossible de savoir laquelle est la plus grave, car nous n’avons pas encore le recul suffisant et nous ne pouvons pas faire confiance aux autorités médicales pour nous guider.

Ainsi les autorités médicales ont perdu tout crédit. Elles dénient l’existence des traitements précoces. Le négationnisme est institué en religion d’état. Les faits sont là et ils sont ignorés. Ceux qui les considèrent sont ridiculisés car ils se trouvent en dehors du dogme officiel, qui se donne l’autorité de la science alors qu’il nie l’existence même de centaines de publications scientifiques parues sur le sujet. Le site qui recense ces articles est critiqué mais là n’est pas la question, car ce sont les articles recensés qui comptent, pas le site lui même. Ceux qui adoptent la doxa véhiculée par les médias refusent de discuter ces publications, sauf celles qui peuvent être facilement démontées, ce qui reste sans impact sur les conclusions générales. Les gouvernements refusent de lancer des essais cliniques de repositionnement de médicaments sur des patients ambulatoire, alors que cela permettraient de trancher, de tester la validité des études disponibles. C’est pourquoi je fais plutôt confiance à ceux qui produisent le savoir scientifique et médical ; ceux qui conduisent les recherches et qui soignent les patients, dont j’ai cité les travaux et qu’il est souvent possible de suivre sur Twitter. Certains ont reçu un prix Nobel, travaillent dans les universités les plus prestigieuses, à Harvard, Yale, ou Stanford, où se situent à l’avant garde de la recherche sur les vaccins.

Sans doute ai-je manqué des références importantes, et je suis prêt à réviser mes vues, sur la base d’un débat contradictoire basé sur les faits. Mais pour cela, encore faut-il que les gardiens de la doxa, et tous ceux qui sont complices malgré eux du discours officiel, acceptent ce débat. Jusqu’à ce jour, ils ne l’ont pas fait. S’ils continuent de refuser un dialogue, je ne pourrais que conclure qu’ils sont complices ou instruments d’un complot mondial contre notre santé qui ne pourra plus se régler que devant les tribunaux, et qui risque de déclencher des violences sociales majeures. Il est de notre responsabilité à tous d’éviter ces violences, en faisant tout ce qui est possible pour instaurer un dialogue entre les « complotistes » et les autres.

Au delà du déni de l’existence des traitements précoces ambulatoires, on trouve beaucoup d’autres absurdités dans le discours officiel sur la COVID. Par exemple, la vaccination est recommandée, exigée même dans le cadre de certaines activités professionnelles, pour tous les âges, sans même considérer si la personne a été immunisée par une infection naturelle. Il n’y a aucune justification médicale à cela. Ce choix politique ne peut s’expliquer que d’une manière : l’agenda derrière cette vaccination généralisée n’est pas notre santé. Qu’est-il donc ? Je n’aborderai pas le sujet. Mais le constat que notre santé est sacrifiée pour d’autres enjeux suffit à ôter toute raison de prendre au sérieux les recommandations sanitaires. D’autant plus que l’on reçoit confirmation chaque semaine de l’effondrement de l’efficacité des vaccins face aux nouveaux variants, et de leur incapacité à stopper les transmissions, sans que cela ne conduise à remettre en cause les passes sanitaires et la coercition vaccinale.

Ainsi il n’y a pas de politique de santé publique crédible face à la COVID-19. Il ne reste plus aux citoyens que de faire leur choix en se basant sur les informations qu’ils peuvent glaner à droite et à gauche. Ayant discuté pendant des mois avec des médecins situés des deux cotés (« complotistes » et non complotistes), j’ai du conclure avec tristesse que nous ne pouvons plus nous fier à l’avis des médecins dans la majorité des cas. Ce ne sont pas les médecins eux même qui sont en cause. C’est le système institutionnel auquel ils appartiennent, dont ils ne peuvent plus s’échapper. Ancrés dans ce système, beaucoup de médecins vénèrent la vaccination comme une idole que nul n’a le droit d’égratigner. Ils oublient qu’un vaccin n’est pas seulement un concept, une pratique médicale. C’est aussi un produit fabriqué par un industriel dont l’objectif principal n’est pas forcement la santé des gens.

Les autorités sanitaires et les médecins qui suivent leurs recommandations affirment que les vaccins sont efficaces, réduisent les infections et les cas graves. Oui, bien sur, mais cela nous le savons déjà. Aucune ligne dans cet article ne nie l’efficacité des vaccins tout au moins dans le court terme. Un industriel a toujours besoin de vendre son produit, et celui-ci doit donc tenir la route un minimum. Mais il y a d’autres moyens que le vaccin d’éviter l’infection et l’aggravation, et cela, l’essentiel du corps médical le nie. Les vaccins COVID produisent des effets secondaires, avec des signaux alarmants, sans précédent historique, perçus par toutes les bases de pharmacovigilance, mais cela est également nié ou ignoré et aucune enquête sérieuse n’est lancée pour établir les liens de causalité. Les effets à long terme des vaccins sont inconnus, ce que même les fabricants comme Pfizer reconnaissent dans leurs contrats, puisqu’ils refusent d’être considérés juridiquement responsables en cas de problème, mais cela aussi est ignoré ou minimisé. On nous dit que les vaccins sont sûrs, mais cela est faux. La vérité c’est qu’on ne sait pas, car on n’a pas encore terminé les tests et on ne dispose pas de données sur le long terme. La protection immunitaire naturelle est plus forte que la protection vaccinale, mais cela non plus ne peut être débattu. En refusant le débat, en refusant de se rabaisser à échanger des idées avec les “complotistes”, en prétendant que notre narratif traduit des troubles psychologiques plutôt qu’une observation attentive des faits, en attaquant les messagers au lieu de commenter le message, comme si nous étions retournés à l’âge de l’inquisition, les responsables de la santé et beaucoup de “sachants” autoproclamés invités sur les plateaux télé sont en train de provoquer notre radicalisation et notre colère.

Nous ne jugeons pas les promoteurs de la doxa gouvernementale. Ils sont simplement victimes d’une campagne de propagande sans précédent historique, permise par le contrôle de l’information par les médias et les algorithmes des GAFAM. J’espère qu’ils accepteront finalement le dialogue basé sur les faits et la science, qu’ils consulteront les articles scientifiques cités, qu’ils communiqueront leur propres références pour un débat constructif, et qu’ils décèleront nos erreurs car nous ne prétendons pas ne pas en faire. J’espère aussi que tous les médecins prendront conscience de la nécessité de ne plus donner une confiance aveugle à leurs hiérarchies et aux canaux habituels de l’information que sont la presse classique et les grands médias audio-visuels. Ils doivent en outre comprendre que pour exercer leur métier, il ne suffit plus de connaître la médecine. Il faut aussi connaître l’institution médicale, objet d’étude d’anthropologues, sociologues, citoyens, journalistes d’investigation ou médecins et scientifiques passés du coté de la critique. Je les invite, tout comme les lecteurs qui seront leur patients, à lire ces ouvrages, seule chance à mes yeux de sauver le dialogue et la confiance entre patients et médecins, et entre les « complotistes » et les autres dans les années à venir.