Devenez objecteur de conscience vaccinale

Message de la part d’Anny Duperey


« Je suis entrée 3 fois dans le TGV (et une autre fois au théâtre), à la gare du Nord, avec mon PAPIER d’ « Objecteur de conscience vacc vainale » – laissée passer sur le quai par des contrôleurs manifestement dépassés par la situation, et ne sachant que dire devant un papier qui avait l’air officiel – « Bon, d’accord… » Repartant Lundi soir de Lille, où je n’avais jusque-là jamais été contrôlée, je tombe sur une armada de contrôleurs de PASS, mâles et femelles. Je présente mon formulaire. Et là, on se la joue consciencieux, on lit le bazar, avec toutes l es lois reportées, de bout en bout, on s’interroge, toutefois on ne peut me laisser passer… Jusqu’à ce qu’un des gars le photographie, recto/verso (mon formulaire A4 est plié en deux sous un plastique) et dise : – « Je l’envoie à notre chef responsable. » On attend un peu. Et la réponse OFFICIELLE du chef tombe : « C’est accepté, laissez passer. »

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Modèle de lettre

Déclaration d’objection de conscience vaccinale

Je, soussigné , déclare être informé et conscient de mes droits naturels et constitutionnels, notamment de mon droit à refuser, pour moi-même et pour les personnes sur lesquelles j’ai une autorité légale :

– Les produits pharmaceutiques dits « vaccins anti-Covid» sous autorisation de mise sur le marché conditionnelle,

– Le traçage ou la surveillance par les plateformes publiques au travers de procédés comme le « passe sanitaire » ou le « passe vaccinal »,

– Les restrictions faites à mes droits et libertés protégés et inaliénables.

Ces mesures imposées dans le cadre de l’urgence sanitaire violent ma liberté de conscience, mon droit à une vie privée et une vie familiale normale, le secret médical et l’ensemble des principes démocratiques en vigueur en France jusqu’au 17 mars 2020.

Par cette déclaration, je me place sous la protection de :

– L’article 5 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, qui précise notamment : « Tout ce qui n’est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu’elle

n’ordonne pas. »

– L’article 1 de la Constitution, qui prévoit que la République « assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion »

– La décision du Conseil Constitutionnel du 6 juillet 2018, qui précise que : « Il découle du principe de fraternité la liberté d’aider autrui, dans un but humanitaire »

– L’article 9 de la Convention Européenne de Sauvegarde des Droits de l’homme et l’arrêt Vavricka du 8 avril 2021 de la Cour Européenne des Droits de l’Homme qui sanctuarise l’objection de conscience en matière de vaccination

– Le code de Nuremberg de 1947 qui stipule en premier principe le consentement libre de toute personne aux expérimentations médicales

– La Convention d’Oviedo de 1997 qui précise notamment que « Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé »

– Les articles 225-1 et 225-2 du Code Pénal interdisant toute discrimination en raison de l’état de santé, et rendant celle-ci passible de 3 ans de prison et de 45.000€ d’amende

– L’article L1110-3 du Code de la Santé Publique qui précise que : « Aucune personne ne peut faire l’objet de discriminations dans l’accès à la prévention ou aux soins. » et les droits des patients résultants de la loi Kouchner de 2004,

– L’article L1132-1 du Code du Travail qui prohibe toute discrimination sur le lieu de travail en raison de la santé.

Mon statut d’objecteur de conscience vaccinale me protège contre toute mesure visant à me contraindre d’accomplir ce que ma conscience proscrit et contre toute discrimination liée à mon refus de la vaccination.

Je vous prie donc de respecter immédiatement mes droits, sous peine de saisine des tribunaux compétents.

Date :

Nom et prénom :

Signature :

Pour avoir la version pdf :

dclarationdobjection


LA DÉFENSE S’ORGANISE DANS LE PAYS !

1°) Asso Réaction19

100222 – Plainte pour injures publiques à l’encontre du Parisien et du Président de la République qui a « bien envie de nous emmerder » :
A la suite des propos tenus par le Président de la République, Monsieur Emmanuel MACRON, lors de l’interview donnée le 4 janvier 2022 au journal LE PARISIEN, l’Association REACTION19 a décidé d’assurer la coordination
de la mise en œuvre d’une procédure judiciaire à l’encontre de la société « SAS LE PARISIEN LIBERE » ainsi qu’au Président de la République lui-même.
Dans la mesure où ces propos sont susceptibles d’emporter la qualification d’injures publiques, la procédure mise en œuvre vise à déposer une Plainte avec constitution de partie civile par-devant le Tribunal Correctionnel de PARIS aux fins de 
demander la réparation du préjudice moral subi par chacune des parties civiles./… 
https://reaction19.fr/reaction19/actualites/association-reaction19/asso-2022/procedure-injures/?utm_campaign=reaction19_lettre_dinformtion_n7

2°) Et Le Courrier des Stratèges -> https://resterlibre.org/ 
pour les "Non-Citoyens, irresponsables" et Objecteurs de conscience

https://odysee.com/@lecourrierdesstrateges:7/Objection2:4

Un positionnement individuel, consécutif et légitime à l’excommunication publique des défenseurs des libertés (malhonnêtement réduits à la figure « d’antivax ») par un certain président de la République Française :
"Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc, on va continuer de le faire, jusqu’au bout", expose le chef de l’État, qui ajoute : "Je ne vais pas les mettre en prison, je ne vais pas les vacciner de force.".

Ces mots n’ont pas été lâchés par imprudence. L’un des proches du président le confirmait mardi soir : "Ce n’est pas une petite phrase, c’est un raisonnement". C’est donc bien le fond de la pensée d’Emmanuel Macron, exprimé avec des mots crus 
pour marquer. D’ailleurs, le chef de l’État revient à la charge un peu plus loin dans l’interview, cette fois contre les anti-vax, accusés de "saper la solidité d’une nation". "Quand ma liberté vient menacer celle des autres, je deviens un irresponsable,
estime le président. Un irresponsable n’est plus un citoyen ».
(interview du Parisien - Le 4 janvier 2022 à 20h46 -Extrait de l’entretien de Macron au Parisien le 04 janvier 2022

Cette objection de conscience va de pair avec la CDDCF ou Charte des Droits et Devoirs du Citoyen Français rappelée aux étrangers voulant obtenir la nationalité française :
https://www.immigration.interieur.gouv.fr/Integration-et-Acces-a-la-nationalite/La-national

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-emmanuel-macron-a-tres-e

Voilà une petite phrase présidentielle qui fait déjà beaucoup réagir, en plein débat sur le projet de loi transformant le pass sanitaire en pass vaccinal. "Les non-vaccinés, j'ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer de le faire, 
jusqu'au bout", déclare Emmanuel Macron dans une interview accordée au Parisien et à ses lectrices et lecteurs, publiée mardi 4 janvier.

Pass vaccinal et Covid-19 : les dernières informations dans notre Direct Le chef de l'Etat répondait à une question d'une lectrice du Parisien soulignant que les non-vaccinés "occupent à 85% les réanimations", ce qui entraîne un report 
des opérations. Cette remarque "est le meilleur argument" pour la stratégie du gouvernement, relève le président, soulignant qu'"en démocratie, le pire ennemi c'est le mensonge et la bêtise".

"C'est une toute petite minorité qui est réfractaire"

"La quasi-totalité des gens, plus de 90%, ont adhéré" à la vaccination et "c'est une toute petite minorité qui est réfractaire", ajoute-t-il. "Celle-là, comment on la réduit ? On la réduit, pardon de le dire, comme ça, en l'emmerdant 
encore davantage. Moi, je ne suis pas pour emmerder les Français", ajoute-t-il, paraphrasant la célèbre phrase de son précedesseur Georges Pompidou – "Arrêtez donc d'emmerder les Français".
"Je peste toute la journée contre l'administration quand elle les bloque, souligne Emmanuel Macron. Eh bien là, les non-vaccinés, j'ai très envie de les emmerder."

"C'est ça, la stratégie. Je ne vais pas les mettre en prison, je ne vais pas les vacciner de force. Et donc, il faut leur dire : à partir du 15 janvier, vous ne pourrez plus aller au restau, vous ne pourrez plus prendre un canon, vous ne 
pourrez plus aller boire un café, vous ne pourrez plus aller au théâtre, vous ne pourrez plus aller au ciné…", poursuit le chef de l'Etat.

3°) https://jenesuispasundanger.com/