Compteur Linky : les méthodes de 5COM

Comment Enedis fait travailler 5COM !

ET … une interview dans l’Humanité

A LAUWIN-PLANQUE, le courant passe mal…

Une personne agressée à Lauwin-Planque par 5COM -le sous-traitant d’Enedis…

Cela s’est passé le Vendredi 11 mai 2018 vers 10h dans le secteur de la rue de la Paix.
Deux personnes de 5COM étaient dans cette rue en impasse avec chacun un gros véhicule (faisant office de paravent), bouchant la visibilité des voisins. Ils voulaient poser en force un ou des compteurs.

Voyant cela, Mme Y leur a demandé ce qu’ils cherchaient et leur a indiqué qu’il y a des affiches demandant de ne pas poser le Linky. M. X, un autre voisin,  est venu et a dit qu’il ne voulait pas non plus ce compteur. Par précaution, Mme Y a voulu prendre des photos des véhicules. Ces employés de 5COM étaient mécontents de voir que des photos pouvaient être prises ; le plus mince d’entre eux a pris des photos de la maison et de la voiture de Mme Y : ils avaient le droit de filmer ou photographier, mais Mme Y n’avait pas le droit de prendre des photos !

Puis les deux compères sont partis de cette rue de la Paix en impasse, ont tourné à droite et se sont garés de suite sur le trottoir, tout en guettant dans la rue de la Paix pour voir s’il y avait toujours des personnes dehors dans cette rue.

Dans le secteur de la rue de la Paix, ils avaient changé le compteur chez Mr Z ; et ce malgré l’affiche qui indiquait qu’il refusait la  pose du compteur Linky à son domicile. Il avait laissé son garage ouvert puisqu’il partait pour très peu de temps. Ils sont allés dans le garage et comme le propriétaire n’était pas là pour de nouveau leur dire NON, ils ont posé vite fait le compteur… Ce voisin avait l’EJP ; en tapotant sur le Linky, constat a été fait que l’EJP était désactivé !

A la suite de cela, de ce fait, Mme Y et une autre personne voisine ont voulu voir ce que ces sous-traitants faisaient.

Mme Y conduisait son véhicule ; la passagère avait une tablette pour prendre des photos. Par précaution en cas de problème et au vu de la pose forcée, des photos des véhicules ont été prises avec la tablette.

La conductrice Mme Y a fait demi-tour pour repartir chez elle, mais après avoir fait demi-tour, un des employés, le plus fort,  s’est mis carrément en plein milieu de la route, lui barrant le passage ; la conductrice a dû s’arrêter devant lui ; l’employé a plongé sur le capot du véhicule de Mme Y en donnant des coups de poings. Pour se protéger la conductrice Mme Y  s’est mise à klaxonner pour appeler de l’aide. Elle a eu l’impression qu’il voulait l’arrêter pour récupérer la tablette avec laquelle des photos avaient été prises…

Cette scène a dû certainement être filmée par son collègue ! Une mise en scène organisée… pour imiter le fait que Mme Y aurait pu agresser un employé sous-traitant d’Enedis …  Heureusement pour la conductrice Mme Y,  la scène a été courte car une voiture est arrivée derrière son véhicule : l’employé  a dû se retirer de la route et laisser passer le véhicule de Mme Y et celui qui suivait ; ce qui a donc permis à Mme Y de repartir.

Mme Y n’est pas retournée chez elle  (par peur), s’est garée un peu plus loin et a demandé de l’aide au conducteur qui suivait son véhicule ; celui-ci ne s’est pas arrêté pour l’aider…

Mme Y est repartie (avec la peur d’être rattrapée par l’employé de 5COM) pour se diriger avec sa passagère vers la mairie de Lauwin-Planque. Mme Y s’est garée sur le parking de la mairie et est allée (avec sa passagère) pour relater les faits au maire. La secrétaire a demandé de faire un rapport écrit.

Mme Y voulait signaler les faits d’agression de l’équipe de 5COM et pour indiquer que dans le secteur de la rue de la Paix ils avaient posé de force un compteur Linky ; alors qu’ils étaient déjà passés plusieurs fois, que Monsieur Z disait toujours NON pour la pose de ce compteur et qu’il y avait une affiche sur le coffret « touche pas à mon compteur ».

Mme Y  et sa passagère sont sorties de la mairie, se sont dirigées vers leur véhicule et s’y sont installées. De suite un véhicule est arrivé sur le parking et s’est mis derrière la voiture, bloquant celle-ci à son emplacement de parking en l’empêchant de repartir : il était impossible pour Mme Y de reculer. Mme Y s’est aperçue que c’était un des deux véhicules de « 5COM ». L’employé (le plus fort) est sorti de son véhicule et s’est dirigé vers celui de Mme Y. Il voulait ouvrir la portière de la voiture de Mme Y ; de nouveau Mme Y a pensé qu’il voulait à tout prix essayer de récupérer la tablette numérique… car il y avait les photos des véhicules de 5COM ! … Mais, peine perdue, car Mme Y avait caché la tablette. Lorsque ce même employé de 5COM a voulu ouvrir la portière de Mme Y, elle s’est opposée à cette manœuvre comme elle le pouvait ; l’employé a toutefois réussi à l’ouvrir de 10 cm environ. Mme Y a enclenché sa marche arrière et ce sous-traitant d’Enedis a eu peur pour son véhicule, ce qui a fait qu’il est reparti. 5COM a dû quitter les lieux car Mme Y se remettait à klaxonner pour appeler à l’aide…

Une agression dont se serait bien passée Mme Y.

Mme Y est ensuite allée au commissariat de Douai pour porter plainte. Ils ont pris … une main courante !

5COM est allé ensuite –avec les deux véhicules- dans une autre rue.

Ils ont encore posé un Linky rue Théodore Marichez, chez A, un particulier qui ne voulait pas de ce compteur : LRAR envoyée à Enedis, affiche « Non au compteur Linky » sur celui-ci, etc… Des voisins dans la rue ont signalé à 5COM que ce Monsieur (non présent puisqu’en vacances) ne souhaitait pas la pose de ce compteur. Mais ils l’ont posé quand même… Ils ont même dit à une des deux personnes présentes : « maintenant on pose partout » ! Ils ont ajouté et raconté, en faisant voir des photos, qu’ils avaient été agressés par une Dame qui a foncé sur l’un d’entre eux !

Ils  sont revenus en fin de journée rue de la paix … Ils se sont garés et ont pris des photos de la maison de X,  Tout en disant à la Dame de cette maison : « continuez de faire votre travail, ne vous occupez pas de nous ».  6ème passage de 5COM à son domicile : cela devient du harcèlement ! Il faut savoir que le compteur n’est pas dehors, que la lettre en recommandé a été envoyée et qu’une affiche indique que le compteur Linky n’est pas désiré !

Devant certaines résistances, ils veulent instaurer un climat de peur … pour poser leur Linky.

Ces faits graves de ce vendredi 11 mai 2018 -agressions envers Mme Y et poses forcées ce jour-là du compteur Linky chez Mr Z (rue de la Paix) et Mr A (rue Marichez) dans Lauwin-Planque- ne sont pas les premiers problèmes dans le secteur.

Il faut rappeler qu’ils ont forcé aussi dans un autre secteur de la commune, rue Voltaire. Même genre de méthode boulevard Albert 1er à Douai. Même installation en force à Bruille-lez-Marchiennes. Ce sont des faits que nous connaissons. Il doit y en avoir d’autres du même genre.

Ce n’est pas possible d’en rester là :

–        Il y a déjà eu deux plaintes envoyées à la Procureure de la République de Douai. Plusieurs plaintes sont à l’étude et seront déposées dans les jours à venir.

–        Le maire de Lauwin-Planque va aussi recevoir un courrier.

Il faut rappeler qu’en fin de réunion fin mars 2018, lors du conseil municipal, le maire Monsieur POIRET Christian s’est engagé à demander à Enedis de remettre l’ancien compteur en cas de pose forcée.

Il y a évidemment d’autres actions qui seront envisagées.

Il ne faut pas croire que seul 5COM est en cause. Il faut dire qu’Enedis fournit aux sous-traitants des consignes strictes qui ne peuvent qu’inciter les sous-traitants à forcer.
Voici –en pièce jointe- le document que transmet Enedis à ses sous-traitants :

Consignes-Enedis 180512

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Pourquoi tant de refus et peut-on le refuser ?

Samedi 5 mai parmi les nombreux rassemblements nationaux, 300 personnes ont formé une chaîne humaine dans le Vercors à l’appel des collectifs anti-Linky. Ce n’est pas le progrès qu’ils refusent mais le fait que les compteurs Linky outre qu’ils font craindre pour la santé, sont coûteux, intrusifs, incompréhensibles selon la Cour des compte

Stéphane Lhomme, conseiller municipal de Saint-Macaire (33), animateur du site web http://refus.linky.gazpar.free.fr répond à ces questions. Pour lui « les compteurs Linky résument la problématique de la France macronienne : un Etat violent dont les moyens sont mis au service des intérêts privés au détriment des citoyens ».

L’Humanité.fr.- Quel bilan faites-vous de cette journée du 5 mai de mobilisation des collectifs anti-Linky et pourquoi une telle journée ?

Stéphane Lhomme : « Partout en France on note une démultiplication du refus des compteurs communicants et des méthodes imposées par la direction d’Enedis. Certains collectifs ayant décidé de mener des actions de protestation le 5 mai, cette date a finalement été retenue pour faire une journée nationale de protestation, mais la même date a ensuite été retenue pour les manifestations de la « Fête à Macron ».

Du coup, certaines actions étaient autonomes, d’autres mêlées aux autres revendications sociales. C’est donc une mobilisation disparate qui a eu lieu mais, ce qu’il faut en retenir, c’est que le refus des Linky ne cesse de s’étendre. »

L’Humanité.fr.- La grande question que tout le monde se pose est : peut-on refuser la pose d’un compteur Linky ? Et Gazpar ?

Stéphane Lhomme : « La réponse est apportée par plus de 600 communes (dont de grandes villes comme Tours) et des centaines de milliers de citoyens qui refusent ces compteurs communicants.

Certes, les délibérations municipales sont attaquées en justice administrative, mais c’est un long combat que nous espérons pouvoir gagner au final. Il faut noter que toute délibération municipale est en vigueur tant qu’elle n’est pas annulée par la justice administrative (à supposer qu’elle le soit au final). Donc les élus municipaux peuvent – et doivent ! – protéger leurs administrés.

Quand ce n’est pas le cas, les habitants peuvent refuser individuellement : il faut savoir que, malgré les rumeurs répandues par les sociétés privées chargées du déploiement, aucune mesure de rétorsion n’existe contre un habitant qui garde son compteur ordinaire : il ne risque aucune coupure du courant, ni de devoir payer le compteur plus tard, ou de payer une somme mensuelle, ce sont des balivernes inventées pour intimider les gens. »
L’Humanité.fr.- Comment et sur quels critères les usagers qui refusent ce type de compteur peuvent s’appuyer ?

Stéphane Lhomme : « La situation est en réalité très simple pour plus de la moitié des compteurs du pays, qui sont situés dans les logements : l’habitant est alors protégé par la loi – article 432-8 du code pénal – car, même s’il est simple locataire, personne n’a le droit d’entrer dans son habitation.

Pour les autre cas (compteur qui donne sur la rue ou qui est dans les parties commune d’un immeuble), on assiste à une révolte pacifique et créative : les gens barricadent leurs compteurs avec des grilles, des parpaings, des chaines, etc. A nouveau la loi est claire et a été confirmée par le jugement du 20 juin 2017 du tribunal de La Rochelle : les installeurs de Linky n’ont absolument pas le droit de briser ces protections. »

L’Humanité.fr.- Pas toujours évident de dire non face aux agents sous-traitants d’Enedis. Que conseillez-vous aux usagers ?

Stéphane Lhomme : « Si le compteur est dans votre logement, ou dans le jardin bien fermé, il suffit juste de ne pas se laisser intimider par les menaces. Dans les autres cas, il faut photographier les installations et leurs protections, filmer le comportement des installateurs, mais aussi appeler la mairie : même si les élus locaux n’ont pas eu la bonne idée de délibérer contre le Linky, ils ont un devoir d’assistance auprès de leurs administrés dont le choix de garder le compteur ordinaire doit être respecté. Le maire peut même faire appel aux gendarmes ou policiers pour faire partir les installateurs et éviter ainsi des incidents graves. »

L’Humanité.fr.- Et les mairies peuvent-elles s’opposer aux compteurs dits intelligents, comment et sur quels critères ?

Stéphane Lhomme : « Comme indiqué ci-dessus, les municipalités peuvent tout à fait prendre des délibération ou arrêtés contre le déploiement des compteurs communicants. Des procédures en justice administrative sont en cours. Il est vrai que les premiers jugements (en référé ou en première instance) ne nous sont pas favorables mais nous avons bon espoir de voir la donne changer en Cour administrative d’appel ou siègent des magistrats beaucoup plus expérimentés et plus susceptibles de mettre en exergue la réalité de la situation : même quand la commune a délégué sa compétence de distribution de l’électricité, elle reste propriétaire des compteurs d’électricité et peut donc s’opposer à leur remplacement par des Linky. Les commune de Bovel (35) et Tarnos (40) sont les plus avancées dans ces procédures, il faut les soutenir massivement – à cet effet les mairies et les élus disposent d’un KIT Juridique mis gratuitement à leur disposition par le cabinet d’avocats Artemisia NDLR.

Concernant les compteurs communicants de gaz (Gazpar) et d’eau, la commune peut encore plus facilement s’y opposer, par exemple en refusant aux opérateurs le droit d’installer des antennes ou concentrateurs sur des bâtiments élevés comme le château d’eau ou l’église. Notons d’ailleurs que l’Évêché, qui a aussi son mot à dire, s’est opposée à l’installation de ces antennes dans tout le département de l’Aveyron : un excellent exemple à suivre. »
L’Humanité.fr.- Quels arguments avancez-vous pour justifier votre opposition aux compteurs Linky et n’est-ce pas aller contre le progrès ?

Stéphane Lhomme : « Les compteurs communicants sont d’abord des « big brothers » à domicile qui vont capter sur la vie des habitants d’innombrables données utilisables à des fins policières ou commerciales : la société Direct énergie vient d’ailleurs d’être prise la main dans le sac à collecter illégalement les données du programme Linky. Et, plus globalement, l’affaire Facebook montre que les données sont toujours récupérées, volées, détournées, etc. La seule solution est d’avoir… un compteur ordinaire !
D’autre part, les Linky causent de nombreux désagréments : appareil ménagers qui dysfonctionnent ou grillent, installations qui disjoncte continuellement obligeant à prendre un abonnement plus cher, factures qui s’envolent sans raison : le déploiement des linky est un véritable programme anti-social !

Enfin, le linky met en jeu la santé voire la vie des habitants en générant des incendies qui peuvent être mortels, et en faisant circuler dans les fils électriques du logement des données par la technologie controversée du CPL qui fait que tous ces fils émettent des ondes qui peuvent être faibles mais dont la dangerosité est hélas avérée dans la durée : il ne faut donc pas se laisser tromper par les arguments comme « Cela émet moins d’ondes qu’un grille-pain » : vous ne faites pas des tartines 24h/24, alors que le CPL du Linky circulera continuellement.

Au final, le programme Linky semble synthétiser la problématique de la France macronienne : un Etat violent dont les moyens sont mis au service des intérêts privés au détriment des citoyens, de l’intérêt général et de la démocratie. »

En lien

le rapport de la Cour des comptes qui épingle Linky jugé couteu

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Vous refusez l’installation d’un compteur Linky, vos droits

1.- Enedis et/ou l’entreprise sous-traitant chargée de la pose des compteurs Linky a l’obligation d’envoyer aux abonnés un courrier 45 jours avant la date du rendez-vous pour procéder au changement de compteur.

En principe les techniciens de ces sociétés sont identifiables au logo « partenaire Linky » sur leurs badges et sur leur véhicule de fonction. De plus le courrier reçu par le client concerné, 45 jours avant le rendez-vous, doit mentionner le nom de l’entreprise chargée de la pose.

Ce courrier vous permet de connaître la date de venue des agents mais vous n’êtes pas obligé(e) de leur ouvrir ni d’être présent(e). Il vous sera alors fixé un autre rendez-vous que vous n’êtes pas non plus tenu d’honorer.

2.- Pas question d’accepter des rendez-vous par téléphone. Tout consommateur ou client peut faire jouer son droit d’opposition à tout démarchage téléphonique en le signifiant à la personne qui harcèle. A défaut possibilité de porter plainte auprès du CNIL (commission nationale de l’informatique et des libertés) sur http://www.cnil.fr/vos-droits/plainte-en-ligne/

3.– Les menaces de sanction ne tiennent pas. En effet,  la loi de transition énergétique ne sanctionne pas le refus individuel de changer son compteur existant contre un Linky. La CRE (commission de régulation de l’énergie) menacerait de taxer 19 euros HT par mois le relevé manuel des compteurs à tous ceux qui refusent Linky (dont le relevé se fait à distance). Ce qui serait illégal comme de couper le courant aux récalcitrants.

4.- Les agents chargés de la pose des compteurs Linky n’ont pas le droit d’entrer chez vous si vous refusez. L’article 432-8 du code pénal sanctionne: « le fait, par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public, agissant dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, de s’introduire ou de tenter de s’introduire dans le domicile d’autrui contre le gré de celui-ci hors les cas prévus par la loi ». Il faut donc observer deux points :

  • la violation concerne le domicile, c’est-à-dire, selon la jurisprudence, le local d’habitation, mais également ses dépendances (cave, terrasse, balcon, jardin ou cour) à condition que ces dépendances soient closes : aucune protection ne peut être reconnue à une cour ou un jardin ouvert sur l’une de ses faces, ce qui permet l’accès à tout venant ;
  • si l’occupant a donné son accord, même tacitement, il n’y a pas d’infraction. Sur ce point, la jurisprudence considère qu’une porte (ou un portail) fermée à clé peut être apparentée à un refus implicite. Par extension, on peut considérer qu’une porte (ou un portail), fermée mais pas à clé pourrait être également apparentée à un refus tacite. Toutefois, rien n’est certain sur ce point, dans la mesure où la jurisprudence ne s’est pas clairement positionnée.

5.- Indépendamment des délibérations et moratoires des conseils municipaux s’opposant  aux Linky, les usagers ont la possibilité de demander à leur maire de refuser l’installation d’un Linky comme d’un Gazpar ou son retrait si celui-ci a été installé selon les explications et la lettre type (à envoyer au maire) à télécharger sur :

http://refus.linky.gazpar.free.fr/contacter-maire-demander-retrait.htm

C’est mieux que d’agir seul et le fait que l’installation d’un compteur doit faire l’objet d’un courrier 45 jours avant la date prévue, laisse du temps.